samedi 8 août 2009

PREDICATION DU DIMANCHE 02 AOÛT 2009


PRÉDICATION DU DIMANCHE 02 AOÛT 2009

Orateur : Évêque F. M. Mawit

Thème : Active la compassion de Dieu

Texte de base : 2 Samuel 24

Nous pouvons reformuler le thème de ce message par : le cri véritable, le cri de la foi ou le cri de la compassion divine.

Nous pouvons définir un cœur de compassion par : un cœur sensible à la misère, à la douleur d’autrui ; un cœur touché par la situation bonne ou mauvaise de l’autre.

En tant que chrétien, nous avons l’obligation d’avoir ces caractéristiques.

Dieu aura toujours un cœur de compassion vis-à-vis de l’homme parce c’est l’une caractéristique de sa nature.

2 Samuel 24. 13 à 14

Il existe un homme dans la Bible qui connaissait la compassion de Dieu : le roi David

David connaissant le cœur méchant de l’homme et il avait toujours prier de tomber entre les mains de Dieu qu’entre celles des hommes. Il préférait être humilié par Dieu que par les hommes parce qu’il connaissait l’immensité et la profondeur des compassions de Dieu.

Sur le plan humain, il était impossible pour David de sortir de la situation décrite dans ce chapitre ; seule la compassion de Dieu était capable de renverser la situation en sa faveur vis-à-vis des ennemis dont il était entouré.

La compassion de Dieu est un mystère.

Malgré la désobéissance dans laquelle l’homme peut se trouver, Dieu reste toujours prompt et prêt à lui donner l’occasion de se repentir et de le pardonner.

Même dans la vie de tous les jours, on ne sera jamais un bon pasteur, un bon mari ou un bon père si on n’a pas un cœur compatissant

Luc 15 : l’histoire de l’enfant prodige

La compassion n’est pas abstraite ou quelque chose qu’on ne voit pas, elle est physique et visible.

La compassion se traduit par une action.

Le père de l’enfant prodige relaté dans ce passage est vraiment l’image de la compassion de Dieu. Humainement parlant, cet enfant qui avait exigé son héritage avant la mort de son père n’avait aucune raison d’être accueillit par celui-ci.

Dieu reste et prêt à nous pardonner malgré notre désobéissance et nos manquements.

Dieu ne peut être heureux quand l’homme souffre ou quand les gens à l’Église ne s’aiment pas, etc.

Dans ce passage de la Bible, il y a un élément qui amènent la faveur de Dieu dans la vie d’un homme : la prise de conscience de la faute commise.

1 Rois 3. 21 à 26 :

La compassion fait tressaillir.

Dans sa sagesse, le roi Saloon avait demandé de diviser l’enfant à l’aide d’une épée dont deux femmes se réclamaient la maternité. La compassion de la femme qui était la véritable mère avait demandé de laisser l’enfant en vie et de le remettre à l’autre femme qui était d’accord de la sentence du roi c’est-à-dire tuer l’enfant.

La compassion est un bon intercesseur.

La fausse mère est vraiment l’image du diable caractérisé par la haine et la destruction.

Lamentations 3. 22 à 23 :

Le cri active la compassion de Dieu

Matthieu 20. 29 à 34 :

Dans ce texte, Jésus n’avait pas prié, seule la compassion de son cœur avait déclenché le miracle dans la vie de deux aveugles qui avaient recouvré la vue.

Les conditions pour activer la compassion de Dieu :

  • Le cri de la foi : l’expression de la foi à toujours bousculé le cœur de Dieu
  • Se débarrasser de toutes les choses qui font obstacle à l’action de Dieu comme le péché
  • Détourner son regard de son problème, de ses difficultés
  • Esaïe 66. 2

1. La souffrance

2. L’abattement

3. La mise en pratique de la Parole de Dieu.


Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire