mardi 12 octobre 2010

Le trésor dans le vase


Le trésor dans le vase


Savez-vous, mes chers amis, que l’Esprit qui demeure en vous est Dieu Lui-même ? Oh ! Que nos yeux s’ouvrent pour voir la grandeur du don de Dieu ! Oh ! Que nous réalisions la richesse des ressources cachées dans nos propres cœurs ! Je pourrais crier de joie lorsque je pense : « L’Esprit qui demeure en moi n’est pas une simple influence, mais une Personne vivante ; c’est Dieu Lui-même. Le Dieu infini est dans mon cœur ! » Je me sens incapable de vous faire comprendre la joie glorieuse de cette découverte, que le Saint-Esprit demeurant en mon cœur est une Personne ! Je ne puis que répéter : « Il est une Personne ! »et le répéter toujours à nouveau : « Il est une Personne ! » Oh ! Mes chers amis, je voudrais vous le dire cent fois : l’Esprit-Saint de Dieu en moi est une personne ! Je ne suis qu’un vase de terre, mais dans ce vase de terre, je porte un trésor d’une valeur inexprimable ! Le Seigneur de gloire

Tous les soucis et les tourments des enfants de Dieu cesseraient si leurs yeux s’ouvraient et voyaient la grandeur du trésor caché dans leur cœur. Savez-vous que dans votre cœur, il y a toutes les ressources nécessaires pour répondre aux exigences de toutes les circonstances dans lesquelles vous pourrez vous trouver ? Savez-vous qu’il y a assez de puissance pour remuer la ville où vous vivez ? Savez-vous qu’il y a là assez de puissance pour ébranler l’univers ? Laissez-moi vous le dire une fois de plus, et je le dis avec le respect le plus profond : vous qui êtes né de nouveaux par l’Esprit de Dieu, vous portez Dieu dans votre cœur !

Toute légèreté tomberait chez les enfants de Dieu, s’ils réalisaient la grandeur du trésor qui est déposé en eux. Si vous n’avez que cinq euros dans votre poche, vous pouvez marcher allégrement dans la rue, bavarder d’un cœur léger, en faisant tournoyer votre canne en l’air. Peu vous importe de perdre votre argent, car il n’a que peu de valeur. Mais si vous avez trois mille euros sur vous, votre position sera totalement différente, et votre conduite changera aussi. Vous aurez dans votre cœur une grande joie, mais vous ne vous promènerez pas distraitement dans la rue ; de temps à autre, vous ralentirez le pas, et glissant votre main dans votre poche, vous tâterez doucement votre trésor, pour poursuivre ensuite votre chemin avec une profonde satisfaction.

[… ] Comprenons-nous ce qui est arrivé à notre conversion ? Dieu est entré dans notre cœur pour en faire son temple. Aux jours de l’Ancien Testament, Dieu habitait un temple fait de pierres ; Il demeure aujourd’hui dans un temple composé de croyants vivants. Lorsque nous verrons réellement que Dieu a fait de nos cœurs son habitation, quel sentiment de profond respect remplira nos vies ! Toute légèreté, toute frivolité disparaissent, comme aussi toute recherche de soi-même, lorsque nous savons que nous sommes le temple de Dieu, et que l’Esprit de Dieu demeure en nous. Avons-nous vraiment réalisé que, partout où nous allons, nous portons en nous le Saint-Esprit de Dieu ? Nous ne portons pas simplement la Bible avec nous, ni même un riche enseignement sur Dieu, mais Dieu Lui-même.

La vie chrétienne normale – Watchman NEE

"Quand je suis faible, c’est alors que je suis fort."



"Quand je suis faible, c’est alors que je suis fort."

"Quand je suis faible, c’est alors que je suis fort." 2 Corinthiens 12.10

La fragilité est généralement perçue comme un handicap, un point négatif dans votre vie ; vous la combattez comme un défaut ! Or, elle est sans doute l’une de vos plus grandes qualités, et vous l’ignorez ! Qui a remarqué que la fragilité du cristal n’est pas un défaut, c’est ce qui lui donne toute sa valeur ? Il en va de même pour vous !

Regardez combien coûte le véritable cristal ; plus il est fin, fragile, plus il est cher.

Vous et moi avons des fragilités, n’est-ce pas ? Pour vous, c’est peut-être votre moral si friable, qui fait de vous quelqu’un que les autres perçoivent comme instable ; pour d’autres, leur fragilité, c’est ce qu’ils appellent pudiquement "leur point faible" ; ou bien une santé sans cesse défaillante, ou encore un complexe encombrant ! Bref, dans votre vie, il y a une fragilité, ou même des fragilités, qui vous rendent vulnérable. Dans la société de performeurs et de winners dans laquelle vous évoluez, il ne fait pas bon montrer ses fragilités, et encore moins les revendiquer. Il faut les refouler, les combattre, les rejeter ! Paul aurait eu du mal à trouver sa place dans ce monde-là, lui qui était capable d’écrire que sa fragilité était une force !

Au fond, vous ne le savez peut-être pas, mais votre fragilité vous conduit dans l’humilité ; le fait de vous en souvenir n’est pas là pour vous détruire, mais pour vous encourager à trouver du secours dans le Dieu de votre salut. Dieu n’est pas le Dieu des superhéros (ces derniers n’ont jamais de dieu dans leur vie), ni des gens qui n’ont aucune faiblesse (ce qui n’existe pas, mais est le reflet de l’orgueil), toute la Bible vous apprend qu’il est le Dieu de gens qui ont leurs faiblesses ; des hommes et des femmes comme vous et moi ! Alors votre fragilité, devient votre chance, votre force, ce qui fait la différence.

Regardez combien coûte le véritable cristal ; plus il est fin, fragile, plus il est cher. Acceptez votre fragilité, quelle qu’en soit la forme, et trouvez votre refuge dans le Dieu du salut ! Un rien pourrait vous briser, mais dans sa main vous êtes à l’abri, alors vivez en paix ! Il n’est pas encore né celui qui vous brisera, tant que vous serez là, au creux de la main du Dieu tout-puissant qui vous fait grâce.



Seigneur, je reconnais ma fragilité pour ne pas dire mes fragilités, et je veux te laisser changer ma manière de les aborder ; je veux comprendre avec ton aide, qu’elles te donnent l’occasion d’enrichir ma vie, et je le confesse aujourd’hui. Amen.

Samuel Foucart


"Quand je suis faible, c’est alors que je suis fort."



"Quand je suis faible, c’est alors que je suis fort."

"Quand je suis faible, c’est alors que je suis fort." 2 Corinthiens 12.10

La fragilité est généralement perçue comme un handicap, un point négatif dans votre vie ; vous la combattez comme un défaut ! Or, elle est sans doute l’une de vos plus grandes qualités, et vous l’ignorez ! Qui a remarqué que la fragilité du cristal n’est pas un défaut, c’est ce qui lui donne toute sa valeur ? Il en va de même pour vous !

Regardez combien coûte le véritable cristal ; plus il est fin, fragile, plus il est cher.

Vous et moi avons des fragilités, n’est-ce pas ? Pour vous, c’est peut-être votre moral si friable, qui fait de vous quelqu’un que les autres perçoivent comme instable ; pour d’autres, leur fragilité, c’est ce qu’ils appellent pudiquement "leur point faible" ; ou bien une santé sans cesse défaillante, ou encore un complexe encombrant ! Bref, dans votre vie, il y a une fragilité, ou même des fragilités, qui vous rendent vulnérable. Dans la société de performeurs et de winners dans laquelle vous évoluez, il ne fait pas bon montrer ses fragilités, et encore moins les revendiquer. Il faut les refouler, les combattre, les rejeter ! Paul aurait eu du mal à trouver sa place dans ce monde-là, lui qui était capable d’écrire que sa fragilité était une force !

Au fond, vous ne le savez peut-être pas, mais votre fragilité vous conduit dans l’humilité ; le fait de vous en souvenir n’est pas là pour vous détruire, mais pour vous encourager à trouver du secours dans le Dieu de votre salut. Dieu n’est pas le Dieu des superhéros (ces derniers n’ont jamais de dieu dans leur vie), ni des gens qui n’ont aucune faiblesse (ce qui n’existe pas, mais est le reflet de l’orgueil), toute la Bible vous apprend qu’il est le Dieu de gens qui ont leurs faiblesses ; des hommes et des femmes comme vous et moi ! Alors votre fragilité, devient votre chance, votre force, ce qui fait la différence.

Regardez combien coûte le véritable cristal ; plus il est fin, fragile, plus il est cher. Acceptez votre fragilité, quelle qu’en soit la forme, et trouvez votre refuge dans le Dieu du salut ! Un rien pourrait vous briser, mais dans sa main vous êtes à l’abri, alors vivez en paix ! Il n’est pas encore né celui qui vous brisera, tant que vous serez là, au creux de la main du Dieu tout-puissant qui vous fait grâce.



Seigneur, je reconnais ma fragilité pour ne pas dire mes fragilités, et je veux te laisser changer ma manière de les aborder ; je veux comprendre avec ton aide, qu’elles te donnent l’occasion d’enrichir ma vie, et je le confesse aujourd’hui. Amen.

Samuel Foucart


vendredi 8 octobre 2010

Jahbets et la bénédiction de Dieu


Jahbets et la bénédiction de Dieu

" Jahbets fut plus honoré que ses frères ; et sa mère l'avait appelé du nom de Jahbets, disant : je l'ai enfanté avec douleur. Et Jahbets invoqua le Dieu d'Israël, disant : si tu me bénissais abondamment, et si tu étendais mes limites, et si ta main était avec moi, et si tu me mettais à l'abri du mal, en sorte que je fusse sans douleur ! Et Dieu fit arriver ce qu'il avait demandé ". 1 Chroniques 4 9-10

La mère de Jahbets avait beaucoup souffert pour mettre son fils au monde, et l'avait affublé de ce nom qui signifie : " douleur " ou " il cause de la souffrance ". Vous rendez-vous compte de ce que porter un tel nom pouvait représenter pour cet enfant, puis pour cet homme ?

Ce nom lui rappelait ce que sa naissance avait coûté à sa mère et peut-être entraînait-il en lui un profond sentiment de culpabilité. Jahbets pouvait penser que, par voie de conséquence, la souffrance et la douleur seraient sa part durant toutes sa vie et qu'il en causerait encore à d'autres.

Il se tourne alors avec foi vers le Dieu d'Israël, celui qui, seul, peut le délivrer de cette sinistre perspective. Il n'hésite pas à demander le maximum pour que Dieu écarte la douleur dont il porte le nom. Et, se défiant de lui-même pour se garder du mal, il anticipe dans ses demandes ce que le Seigneur enseignera à ses disciples : " Délivre-nous du mal " (Matt. 6.13). Dieu l'exauce, et " Jahbets fut plus honoré que ses frères " (v.9).

Les bénédictions que Jahbets demandait concernaient des choses terrestres. Nous savons bien que Dieu nous a promis des bénédictions plus élevées. Nous pouvons donc prononcer la prière de cet homme en pensant à notre vie chrétienne avec le but final que nous n'ayons jamais à supporter la douleur de déshonorer le Seigneur.

Adressons-la de tout notre coeur à Dieu, ne nous contentant pas d'une vie chrétienne médiocre, mais cherchant au contraire la bénédiction d'une vie bien remplie pour le Seigneur.

Ne minimisons pas la richesse de ce que Dieu veut nous donner ! Croyons fermement que Dieu veut nous bénir et " qu'il peut faire infiniment plus que tout ce que nous demandons ou pensons " (Ephésiens 3.20).
Plus nous accordons foi aux promesses de Dieu, plus nous honorons celui qui, dans sa grâce, nous les a faites.

Extrait de la revue " Plaire au Seigneur à tous égards "

En partenariat avec www.famillejetaime.com



Le Départ de Jésus - Jean 13:1

Le Départ de Jésus - Jean 13:1

Jean 13:1 : " Avant la fête de Pâque, Jésus, sachant que son heure était venue pour passer de ce monde au Père, ayant aimé les siens qui étaient dans le monde, les aima jusqu’à la fin."

Il y a deux points que je voudrais souligner dans ce verset. Le premier, c'est que Jésus savait où Il allait : " au Père ". Jésus savait aussi que Ses disciples, " les siens ", seraient laissés dans ce monde. Ils seraient témoin de Son arrestation, Sa crucifixion, Sa résurrection et Son ascension dans le Ciel. Avec amour, Jésus prépare " les siens" à ce qu'ils étaient sur le point de vivre. Cela comprend le chagrin épouvantable qu'ils allaient éprouver suite à Son départ et la perte qu'ils allaient ressentir. Le centre de ce verset, cependant, n'est pas ce qui était sur le point d'arriver à Jésus sur cette terre, mais Sa destination finale, " au Père". Voyez-vous, la mort n'était pas la fin pour Jésus et ne l'est pas non plus pour ceux qui mettent leur foi en Lui. Vendredi matin 24 juillet 2009, ma femme Linda a quitté ce monde et s'est réveillée en présence de notre Père céleste. À la différence de Jésus, elle n'a pas su qu'elle allait partir, mais comme Jésus, elle connaissait aussi sa destination finale, " au Père". Savoir qu'elle est heureuse dans les bras de notre Père me réconforte beaucoup.

Le deuxième point, c'est que Jésus " a aimé les siens ". Jean 1:12-13 affirme : " Mais à tous ceux qui l’ont reçu, il leur a donné le droit d’être enfants de Dieu, c’est-à-dire à ceux qui croient en son nom - qui sont nés non pas de sang, ni de la volonté de la chair, ni de la volonté de l’homme, mais de Dieu. " Si vous avez reçu Jésus, vous êtes " nés de Dieu " et faites donc partie des " siens ". Vous pouvez être consolé par cette précieuse vérité que Jésus vous aime. " Dieu met en évidence son amour à lui envers nous en ceci: lorsque nous étions encore pécheurs, Christ est mort pour nous. " Romains 5:8. Je n'ai qu’un enfant, une fille que j'aime profondément et ne sacrifierais jamais pour personne au monde. Mais c'est exactement ce que Dieu a fait pour nous, pauvres pécheurs : " Dieu, qui est riche en miséricorde, à cause de son grand amour dont il nous a aimés, alors même que nous étions morts dans nos fautes, nous a vivifiés ensemble avec le Christ (c’est par la grâce que vous êtes sauvés) " Éphésiens 2:4-5. Personne ne nous aime comme Dieu : " Qui est-ce qui nous séparera de l’amour du Christ? Tribulation, détresse, persécution, famine, dénuement, péril, épée ? (…) Car je suis assuré que ni mort, ni vie, ni anges, ni pouvoirs, ni choses présentes, ni choses à venir, ni puissances, ni hauteur, ni profondeur, ni aucune autre créature ne pourra nous séparer de l’amour de Dieu, qui est dans le Christ Jésus notre Seigneur." Romains 8:35, 38-39. Bien qu’il puisse vous sembler que Dieu vous a abandonné ou qu'Il vous a blessé en reprenant celui ou celle que vous aimiez, Jésus est toujours là, exactement où vous avez besoin de Lui et Il se soucie toujours de vous. Rien de ce que nous ne devrons jamais traverser, y compris la perte d'une personne aimée, ne pourra jamais nous séparer de l'amour de Dieu.

Prière: merci, Père, pour le réconfort que nous pouvons trouver en sachant que celui ou celle que nous aimions et qui te connaissait se réjouit maintenant en ta présence. Et merci pour ton amour fidèle qui ne nous laissera pas aller et nous bénit dans nos moments les plus sombres. Au nom précieux de Jésus; amen.


Tirées de l'Évangile de Jean, Chapitres 13-16
par Robert J Walker



MAC DONALD’S OU LA POLLUTION FACILE !

MAC DONALD’S OU LA POLLUTION FACILE !

Derrière le sourire candide de Ronald McDonald se cache l'horrible vérité: L'exploitation mondiale des peuples, des animaux et de la nature. Pour la plupart des gens, spécialement les enfants, McDonald's est un amusant moyen de manger une croûte. Mais la réalité est loin d'être amusante, et lorsque vous aurez lu cet article, peut-être n'irez-vous plus jamais dans un fast-food.

UN PETIT RESUME DE MAC DONALD'S AUX ETATS-UNIS ET DANS LE MONDE :
Mac Donald's : c'est 43 % du marché des fast-food aux Etats-Unis, c'est 30 000 enseignes dans le monde, c'est un américain sur quatre qui va y manger chaque jour, c'est presque deux "restaurants" par kilomètre carré à Manhattan, c'est 46 millions de personnes qui vont y manger chaque jour dans le monde ! C'est des "restaurants" partout dans les Etats-Unis : hypermarchés, stations services, aéroports, gares, centres commerciaux, parcs d'attractions et même dans les hôpitaux ! C'est un budget de 1.4 milliards de dollars pour la publicité dans le monde (à même échelle, la publicité pour "cinq fruits et légumes par jour" n'a été financé qu'à l'échelle de 2 millions).
Mais c'est aussi une bouffe universellement reconnu nocive : certaines personnes qui se battaient contre la cigarette (quand tout le monde affirmait avec plus ou moins de certitude que c'était sans danger) se battent aujourd'hui contre Mac Donald's et contre les chaînes de fast-food !!

GASPILLAGE ET MISERE :
Mauvaises conditions d'élevage pour les poulets servant aux hamburgers : salle noire, nourriture bourrée d'antibiotiques, jambes difformes pour la moitié des poules du fait de l'obésité, chambre à gaz pour tuer les poulets malades, électrocution au bout de 6 à 7 semaines pour les autres.
Au Brésil, 23 % des terres cultivées servent à l'exportation du bœuf. Au Guatemala, 90 % de la production de bœuf part aux USA.
McDonald's et Burger King sont deux des nombreuses compagnies américaines qui utilisent des pesticides pour détruire de vaste régions de forêt tropicale en Amérique Centrale pour y installer des terres de pâture pour le bétail qui sera envoyé aux États-Unis comme hamburger et aliment pour animaux, ainsi que pour fournir le matériel d'emballage fast-food.
Les usines de production, hyper-centralisées (trois prévues à terme pour toute l'Europe de l'Ouest) nécessitent un flotte importante de camions, avec tout la pollution que cela implique.
Mac Do, en n'acceptant que certaines variétés de produits (quatre sortes de pommes de terre sur plusieurs dizaines de milliers existantes) et de semences, provoque un appauvrissement de la biodiversité.
Chaque année, une région de forêt tropicale de la taille de la Grande-Bretagne est abattue, détruite et brûlée. Des millions de personnes dépendent de l'eau provenant de ces forêts, qui absorbent l'eau des pluies et la délivrent graduellement. Le désastre du Soudan et de l'Éthiopie est au moins en partie dû à la déforestation incontrôlée. En Amazonie (où il y a maintenant environ 100 000 ranches à bovins), les pluies torrentielles ruissellent à travers les vallées sans arbres, érodant le sol et emportant la terre. La terre nue, cuite par le soleil tropical, devient inutilisable pour l'agriculture.
On estime que cette destruction cause l'extinction d'au moins une espèce d'animal, plante ou insecte toutes les cinq heures.
L'Équateur est ceinturé d'une verte, luxuriante zone d'une incroyablement belle forêt tropicale, restée vierge de tout développement humain durant cent millions d'années, pourvoyant à la moitié des formes de vie de toute la Terre, dont quelques 30 000 espèces de plantes.
Ne vous laissez pas abuser par Mc Donald's qui prétend utiliser du papier recyclé : seul un faible pourcentage l'est. La réalité c'est qu'il faut 1300 kilomètres carrés de forêt rien que pour leur fournir du papier pendant un an. Des tonnes de ce papier joncheront de détritus les villes des pays "développés".

McDonald's prétend sur son site internet agir activement pour limiter son impact sur l'environnement ; hypocrite quand on sait qu'il ne recycle pas ses déchets ! Un hamburger est automatiquement jeté à la poubelle s'il n'est pas vendu dans les 5 min qui suivent sa préparation ; il est placé dans un immense broyeur avec tous les autres déchets (sacs en papier, verres en plastique, nourriture non vendue...) : vive le gaspillage !!!

Si les habitants des USA baissaient de 10 % leur consommation de viande, l'eau, la terre et l'énergie économisées pourraient nourrir 100 millions de personnes. En 1997, 20 millions de personnes ont souffert de malnutrition ou de famines.


TRAVAIL :
Il n'est pas rare que les employés de leurs "restaurants" quittent leur emploi après seulement quatre ou cinq semaines. Ce n'est pas difficile de comprendre pourquoi.
Les conditions de travail et de salaires sont mauvaises : travailler le soir et les week-ends, faire de longues pauses dans la chaleur, le bruit, les mauvaises odeurs. Les salaires sont peu élevés. Ils engagent beaucoup de travailleurs de groupes ethniques minoritaires ou de moins de 21 ans, (qui ont peu de chances de trouver du travail autre part, et ont peur de se faire renvoyer) en se vantant d'employer du personnel sans qualifications, dès la sortie de l'école, et sans discrimination de sexe ni de race. La réalité c'est que la seule chose qui les intéresse, c'est de recruter de la main d'œuvre à bon marché, et de pouvoir les exploiter comme bon leur semble ! La politique de McDonald's est d'empêcher ses employés de se syndiquer en se débarrassant des travailleurs syndicalistes. Jusqu'à présent cette politique a fonctionné partout sauf en Suède et à Dublin, après une longue lutte.
Equipes minimales et fortes pressions pour travailler toujours plus dur et plus vite. Conséquences : nombreux accidents du travail (beaucoup de brûlures) et roulement incessant du personnel.
Ancienneté moyenne chez Mac Do : moins d'un an. Mais peu de licenciements car les employés s'usent vite et partent d'eux-mêmes.
Plus de 80 % des emplois sont à temps partiel, temporaire, sous-payés et dévalorisés pour jeunes femmes sans enfant (car plus flexibles).

COMPOSITION DES ALIMENTS, hamburger McDonald's :
Eau
Sel
Soja
Sucres : sucres invertis(le sucre inverti est créé par combinaison desirop de sucre avec une petite quantité d'acide (comme de la crème de tartre ou du jus de citron). Cela inverti ou transforme le saccharose en deux composés, leglucose et lefructose, et donc réduis la taille des cristaux. Comme il possède une structure de cristaux fine, le sucre inverti donne des produits plus lisses et réguliers et est utilisé pour faire des sucreries telles que des fondants et des sirops. Le procédé de fabrication des confitures et gelées produit automatiquement du sucre inverti par combinaison naturel d'acides présents dans les fruits avec du sucre en grains, le tout en chauffant le mélange),saccharose,dextrose (anglais de glucose)
Emulsifiants: "E471(mono- et diglycérides d’acides gras),E472e (esters monoacétyltartriques et diacéthyltartriques des mono- et diglycérides d’acides gras),E481(stéaroyl-2-lactylate de sodium)
E300(acide ascorbique)
E516(sulfate de calcium, gypse, plâtre de Paris)
E 262(acétate de sodium)
E210(acide benzoïque)
E327(lactate de calcium)
etc. . .

Zoom sur le pain :
Étant donné la constitution de ce pain, on ne peut le comparer avec un pain traditionnel fait de farine de blé, de sel, de levant (levain ou levure) et d’eau, il n’en a pas les qualités nutritives. Cependant tous les additifs alimentaires ont été autorisés par la Commission européenne et sont sans danger aux doses où ils sont présents (sauf parfois un risque allergène); quelques-uns sont même entièrement naturels. Ils se retrouvent tous dans la composition d’autres aliments industriels vendus en supermarché (pain industriel, bonbons, fromages, etc.), leur effet pouvant être cumulatif.

Additifs alimentaires :

Voir le très instructif livre Danger additifs alimentaires de Corinne Goujet aux éditions Le Chariot d'Or.
Les additifs alimentaires sont des produits ajoutés aux produits alimentaires de base dans le but d'en améliorer la conservation, la couleur, le goût, l'aspect... Quand un additif est autorisé au niveau européen, celui-ci bénéficie d'un code du type Exxx (ex : E300 ou E 471). Les additifs sont classés selon leur catégorie. Cependant, étant donné le développement de la liste et son caractère ouvert, la place occupée par un additif alimentaire dans la liste n'est plus nécessairement indicative de sa fonction.

LES ENFANTS ET RONALD :
Souvenons nous du clown pervers du roman «ça » de Stephen King, l’histoire de ce malade mental qui se déguisait pour attirer les enfants, leur offrait des bonbons avant de se les approprier et de les supprimer. L’image est certes trop forte mais arrêtons nous un instant dans un restaurant le jour où Ronald Mac Donald fait son numéro commercial : comment ne pas être pris alors d’un sentiment de malaise devant cette exploitation du tout petit ? Ronald (ce clown trop médiocre même pour Disneyland) est l’incarnation vivante de « ça » en tant que pervers (et non tueur évidement), on reconnaît sur ses lèvres le même sourire d’une satisfaction primaire assouvie (celle de l’argent facile et rapidement gagné) lorsqu’il distribue aux enfants (futurs clients) ses Mac surprises et ses friandises ronaldises.

Plus sérieusement nous pouvons dire que les enfants représentent pour Mac Donald’s & Co les proies idéales. L’hamburger est en effet très adapté à leurs exigences alimentaires encore très modestes et primaires (comme le seront celles des adultes en régression). A ce propos Claude Fischler écrit (1996) qu’ « en présence des parents et avec leur approbation attendrie, les enfants peuvent manifester pour la première fois, à un âge très précoce, une indépendance pour, quelques sous en mains, commander au comptoir un hamburger et un coca-cola. Ils peuvent manger avec les doigts, sans se soucier des contraintes formalistes qui pèsent sur le repas familial. Leurs petites dents s’enfoncent dans l’épaisseur moelleuse des buns, de la viande hachée et ils se régalent de l’aliment dont, toutes les enquêtes le montrent, ils sont le plus friands : les pommes frites, croustillantes dehors, tendres dedans, salées et grasses à la fois Par ailleurs soulignons que les enfants sont non seulement les clients de demain (donc à fidéliser avant les autres) mais ils attirent surtout dans les restaurants leur famille. Les parents ont en effet du mal à dire « non » à leur enfant et la visite dans ces « cantines modernes » leur évite de faire la cuisine (cet exercice devenant, c’est bien connu, de plus en plus difficile de nos jours avec tous les appareils électroménagers sophistiqués ! ). En refaisant à nouveau un peu d’histoire, on s’aperçoit qu’avant d’inventer leur formule révolutionnaire (en service et rentabilité) les frères Mac Donald ont vu s’éloigner une clientèle familiale par la présence des jeunes. Tout a alors été mis en place (au niveau des prix et de l’hygiène) pour attirer la famille ouvrière moyenne, lui donnant l’illusion de fréquenter à moindre coût un restaurant traditionnel. Mais les couverts, les assiettes et les nappes avaient disparu, entraînant avec eux les derniers signes de rituels, au profit des emballages carrés en carton et des sacs en papier, signe d’une civilisation de l’illusoire et du provisoire, à l’imaginaire et créativité extrêmement réduite.
Comme la cigarette en chocolat qui formait l'enfant à la vraie cigarette plus tard, Ronald forme l'enfant à revenir passer les bons moments de son enfance au milieu des aires de jeux : les gâteaux d'anniversaires, les cadeaux des Happy Meal, le clown !! Tant de moment dont l'enfant se souvient comme un moment de retrouvailles avec ses parents qui l'incitent à revenir durant son adolescence, avec ses potes puis plus tard avec ses collègues !!! PUBLICITE CIBLE, NON !!! BIEN SUR QUE NON !!

LA SANTE DANS LES FAST FOODS:
Sur 100 nutritionnistes américains, 45 recommandent de ne jamais aller dans un fast food, 28 deux fois par mois à une fois par semaine, 2 deux fois par semaine voir plus et 95 ont reconnu que manger dans un fast food contribue à l'épidémie d'obésité !
Peu de Mac Donald's distribue des prospectus concernant la nutrition et une moitié à un panneau sur cela dans l'enseigne (mais peu visible) et un sur quatre n'a ni panneau, ni prospectus !!
Les dangers liés à l'obésité et à ce genre de régime : hypertension, apnée de sommeil, rejet de l'insuline, cancer de l'utérus, cancer du sein, cancer de la prostate, cancer du côlon, infarctus, maladie de la vésicule, osthéoarthrite, dysplidémie, asthme, problèmes respiratoires, problèmes de fertilité, anomalie des organes de reproduction, et diabète (1 enfant sur 3 né en 2000 pourrait, adulte, souffrir de diabète).
En raison de la valeur calorique du hamburger (viande grasse et pain sucré), des frites et des sodas, se nourrir fréquemment chez Mac Donald's favorise l’obésité. Il a été démontré qu’y manger épisodiquement ne devrait pas représenter de risque immédiat, et les cours de diététique actuels donnent souvent comme exercice d’application l’équilibrage alimentaire d’une journée comportant un repas chez « McDo » ou dans un établissement similaire . Des tables rappelant les valeurs caloriques, protidiques, glucidiques et lipidiques des principaux produits vendus sont désormais toujours indiqués sur les emballages des produits.

LES MEDIAS EN PARLENT :
Super Size Me, c'est le pari fou d'un homme qui décide de manger Mac Donald's pendant un mois, résultat : un poids de 11 kg en plus, un taux de cholestérol qui augmente de 0.75g/l, de 11 à 18 % de graisse corporelle, un état de dépression, des risques de santé, plus aucune vie sexuelle et des migraines lorsqu'il ne mange plus) ! En un mois, il a ingurgité 15 kg de sucres !!

Tout ceci vaut également pour toutes les autres chaînes de fast-food comme Kentucky Fried Chicken, Burger King, Quick, etc...

Tous dissimulent leur impitoyable exploitation des ressources, des animaux et des humains sous leur façade colorée. D'ailleurs la nourriture y est partout la même ; la prolifération des ces firmes ne signifie pas plus, mais moins de choix.

Cette mentalité matérialiste affecte notre vie dans tous les domaines, avec ces conglomérats géants dominant le marché, ne laissent quasiment pas de place à ceux qui voudraient offrir de véritables choix.

Mais il existe des alternatives, et beaucoup d'entre elles reçoivent tous les jours plus de soutien de gens qui rejettent le big business en faveur de l'organisation autogérée et de la coopération.
Arrêter d'aller chez McDonald's et autres, et expliquer à ses amis les raisons de ce choix. On a tendance à sous-estimer notre propre responsabilité personnelle et notre influence. Mais tous les changements de société commencent par des individus qui prennent la peine de remettre leurs habitudes en question et de vivre suivant leurs opinions.

Les mouvements ne sont que des "gens ordinaires" qui s'unissent, un par un...

Contre l'oppression, il faut de la résistance.

Il y a des gens qui s'unissent et cherchent des moyens de combattre ce système et de créer une vie meilleure.

Il n'y a pas besoin de talents spéciaux pour agir, créer un groupe de pression, etc...

Source: bogrossitude


La prière de guérison


La prière de guérison



Je commencerai par un témoignage tout simple mais très parlant. Au moment où j’ai commencé à servir le Seigneur, j’ai été appelé à aller dans le nord de la France pour être le second pasteur d’une communauté; et voilà que l’un des tous premiers jours où je me trouvais là, un jeune homme vient de loin, à vélo et me dit : « Maman est mourante, le médecin ne peut rien et elle est même intransportable, il faut que vous veniez immédiatement !». Le Pasteur avec lequel je faisais équipe et moi, nous sommes partis très vite; c’était dans la banlieue de Lille qu’il nous fallait aller; nous avons fait le plus vite possible, nous sommes arrivés pour voir la mourante avec le nez pincé, le visage décomposé. Autour de l’unique lampe au plafond; la famille avait voulu atténuer la lumière avec du papier bleu , ce qui donnait un ton blafard. Tout ce que nous avons pu faire, puisque c’était une personne qui appartenait au Seigneur, ce fut de pratiquer en sa faveur l’onction d’huile. Nous avons versé un peu d’huile sur la tête, nous avons prié pour cette malade, et nous nous sommes mis dans un coin de la pièce pour parler avec le fils aîné qui était venu nous chercher; cette dame était maman de trois enfants, la dernière n’avait que sept ans. Pendant que nous parlions à voix basse avec le fils, voilà que la malade se redresse, s’assied et dit : « J’ai faim!, je voudrais de la soupe !». Le Seigneur avait agi. Et le Seigneur a prolongé les jours de cette mère par sa grâce.

On pourrait donner beaucoup de témoignages. Mon propos est de parler de la prière en vue de la guérison. Nous allons lire dans le livre de l’exode un premier passage chapitre 15 :

« 22 Moïse fit partir Israël de la mer Rouge. Ils prirent la direction du désert de Schur; et, après trois journées de marche dans le désert, ils ne trouvèrent point d'eau. 23 Ils arrivèrent à Mara; mais ils ne purent pas boire l'eau de Mara parce qu'elle était amère. C'est pourquoi ce lieu fut appelé Mara. 24 Le peuple murmura contre Moïse, en disant: Que boirons-nous? 25 Moïse cria à l'Éternel; et l'Éternel lui indiqua un bois, qu'il jeta dans l'eau. Et l'eau devint douce. Ce fut là que l'Éternel donna au peuple des lois et des ordonnances, et ce fut là qu'il le mit à l'épreuve. 26 Il dit: Si tu écoutes attentivement la voix de l'Éternel, ton Dieu, si tu fais ce qui est droit à ses yeux, si tu prêtes l'oreille à ses commandements, et si tu observes toutes ses lois, je ne te frapperai d'aucune des maladies dont j'ai frappé les Égyptiens; car je suis l'Éternel, qui te guérit.»

Nous faisons une deuxième lecture dans l’Évangile de Marc au chapitre 16; Jésus prend congé de se apôtres avant de remonter au ciel--il est ressuscité depuis quarante jours et voici ce que nous lisons :

« 15 Puis il leur dit : Allez par tout le monde, et prêchez la bonne nouvelle à toute la création. 16 Celui qui croira et qui sera baptisé sera sauvé, mais celui qui ne croira pas sera condamné. 17 Voici les miracles qui accompagneront ceux qui auront cru: en mon nom, ils chasseront les démons; ils parleront de nouvelles langues; 18 ils saisiront des serpents; s'ils boivent quelque breuvage mortel, il ne leur fera point de mal; ils imposeront les mains aux malades, et les malades, seront guéris ».

Troisième et dernière lecture dans l’épître de Jacques au chapitre 5 :

« 13 Quelqu'un parmi vous est-il dans la souffrance? Qu'il prie. Quelqu'un est-il dans la joie? Qu'il chante des cantiques. 14 Quelqu'un parmi vous est-il malade? Qu'il appelle les anciens de l'Église, et que les anciens prient pour lui, en l'oignant d'huile au nom du Seigneur; 15 la prière de la foi sauvera le malade, et le Seigneur le relèvera; et s'il a commis des péchés, il lui sera pardonné. 16 Confessez donc vos péchés les uns aux autres, et priez les uns pour les autres, afin que vous soyez guéris. La prière fervente du juste a une grande efficacité ».

Il y a des personnes qui proclament haut et fort : « Le temps des miracles est passé!» Je m’érige en faux contre une telle assertion: le temps des miracles n’est pas passé: Jésus sauve encore et le plus grand des miracles est une âme sauvée. Le temps des miracles n’est pas passé. Si quelque a soif du pardon, si quelqu’un a soif de la délivrance du péché, Jésus va le guérir de son péché. Mais la guérison physique est aussi une composante du ministère de Jésus et cela découle de l’Ancien Testament: nous avons lu le récit de ce qui s’est passé à Mara un lieu où, le peuple d’Israël a été conduit dans sa traversée du désert. Là va se produire un merveilleux prodige. C’est vrai que la vie errante au désert était bien difficile : trois jours de marche dans le désert, la chaleur, et puis la déception: on arrive en un lieu pour camper, mais là pas d’eau buvable. Le peuple murmure, Moïse crie à l’Éternel --je souligne ici que la prière est indispensable; la prière est indispensable à nous aussi; nous avons à crier à Dieu en face des difficultés, des maladies, des assauts contre notre santé-- et Dieu indique à Moïse un bois qui n’a sans doute pas de vertu magique, pas de vertu spéciale, mais qui est un symbole de la croix. Et déjà est symbolisé là, le fait que Jésus en mourant pour nous sur la croix va être le sauveur, qui va rendre la vie "imbuvable" que nous traversons, tout à fait limpide et buvable, acceptable, agréable même.
C’est un miracle direct qui se produit là par la grâce de Dieu. Merci au Seigneur, car le bois de la croix a été jeté ici même. C’est en ce lieu que Dieu donne des lois au peuple d’Israël et il va lui dire :« Si tu marches »--il y a même le mot si quatre fois répété dans ce passage; l’Éternel met à l’épreuve le peuple d’Israël en édictant des lois que le peuple doit suivre. «Je suis l’Éternel qui te guérit ». Plus tard dans l’Ancien Testament, on découvrira des miracles de guérison voire même de résurrection; on découvrira ce témoignage rendu par David lui même, disant de Dieu :» C’est lui qui pardonne toutes tes iniquités, c’est lui qui guérit toutes tes maladies »(Ps 103). Et puis le Seigneur laisse une promesse qui nous laisse penser que la guérison est toujours actuelle, dans le dernier livre de l’Ancien Testament, le livre de Malachie transmet cette parole (Ma 3.6) : « Je suis le Seigneur, je ne change pas! »Il ne change pas il envoie son Fils Jésus et le Christ vient sur la terre et guérit les malades. Il guérit des malades qui viennent vers lui en foule; par exemple nous pouvons lire

« Jésus parcourait toutes les villes et les villages, enseignant dans les synagogues, prêchant la bonne nouvelle du royaume, et guérissant toute maladie et toute infirmité.» (Mt 9.35)

Si même nous voulions compartimenter l’emploi du temps de Jésus, nous pourrions dire que Jésus consacrait presque le tiers de son temps à enseigner, le tiers de son temps à évangéliser, à prêcher la Bonne Nouvelle du Royaume, et le tiers de son temps à guérir toute maladie et toute infirmité. Et puis le témoignage qui est donné par Pierre plus tard, est que Jésus allait de lieu en lieu guérissant tous ceux qui étaient sous l’empire du Diable. Jésus a consacré beaucoup de temps à la guérison des malades; non seulement cela, mais, il a ordonné à ses disciples d’aller prier en son nom et d’aller poser leurs mains sur les malades, les oindre d’huile même, afin qu’ils soient guéris. Les miracles du Seigneur sont partout dans l’Église primitive, dans le livre des Actes des apôtres, on trouve plusieurs témoignages, jusqu’au dernier chapitre où il est dit que Paul dans l’île de Malte a imposé les mains à beaucoup de malades, et en particulier à un homme très connu dans cette île. Nous, nous savons donc que les apôtres ont continué à guérir après que Jésus fut remonté au ciel. En fait, les guérisons reposent sur les promesses du Seigneur. Pourquoi, du vivant de Jésus y a-t-il eu tant de guérisons? Il y a un verset (Lc 6.17) qui dit que les gens étaient venus vers Jésus pour être guéris de leur maladie, tout simplement. Ils s’attendaient à la guérison pas à autre chose; et Jésus dit, avant de remonter au ciel, à ses disciples : « Voilà les miracles qui accompagneront ceux qui ont cru » et il donne plusieurs signes, en particulier «ils imposeront les mains aux malades et les malades seront guéris»(Mc 16). Aujourd’hui le Seigneur nous parle encore à travers ce verset; il nous parle à nous personnellement.

Les promesses de Dieu sont comparables à des chèques que nous avons à porter à la banque pour les faire valoir; tant que nous gardons les chèques dans notre poche, nous n’aurons pas l’argent liquide que la banque nous donnerait si nous allions jusqu’au bout de la démarche. Et il y a beaucoup de gens qui laissent les chèques dans leur poche et qui n’en profitent pas : on reste alors dans la pauvreté, on ne peut aller bien loin. Jésus dit : « Si vous demandez quelque chose en mon nom, je le ferai» (Jn 14.14).

Il y aurait beaucoup de choses à dire sur les textes retenus. J’aimerais simplement tracer quelques pistes. Quand Jésus parcourait la Palestine, des gens venaient vers Lui qui le suppliaient de les guérir; par exemple Jaïrus dont la fille est malade à la mort et qui vient au devant de Jésus et qui supplie Jésus de venir; il y a la femme aux pertes de sang dont le geste est aussi une supplication; il y en a beaucoup d’autres qui ont désiré la guérison: le capitaine romain qui est venu supplier Jésus de venir guérir son serviteur; des lépreux qui ont crié au Christ « Guéris-nous »; des aveugles, etc. Jésus a répondu à tous ceux qui l’on prié de les guérir, il a toujours répondu favorablement.

La maladie constitue un sujet de prière légitime en vue de la guérison. Nous avons lu dans l’épître de Jacques au chapitre 5 le verset 13 :

« 13 Quelqu'un parmi vous est-il dans la souffrance? Qu'il prie » et «14 Quelqu'un parmi vous est-il malade? Qu'il appelle les anciens de l'Église, et que les anciens prient pour lui». Dans la prière en vue de la guérison; les malades doivent prier eux-mêmes personnellement; les responsables de l’Église doivent prier pour les malades de l’Église; pourquoi? Parce que la maladie est une attaque de Satan; la Bible le montre: Job est attaqué dans sa santé parce qu’un défi de Satan a été lancé contre Job. Et puis il y a la femme courbée depuis dix-huit ans que Jésus guérit et à l’égard de laquelle il dit: «Et cette femme, qui est une fille d'Abraham, et que Satan tenait liée depuis dix-huit ans, ne fallait-il pas la délivrer de cette chaîne le jour du sabbat? » (Lc 13.16). C’est donc l’adversaire de nos âmes qui est aussi l’adversaire de nos corps. Il veut nous attaquer dans notre santé et même, l’apôtre Paul, qui un moment traverse une épreuve de santé dit qu’un ange de Satan est venu pour le souffleter, le gifler; d’une manière générale on peut dire sans se tromper que la maladie émane de l’Adversaire. La guérison fait partie des bonnes choses dont Jésus a parlé lorsqu’il a dit :
« Si donc, méchants comme vous l'êtes, vous savez donner de bonnes choses à vos enfants, à combien plus forte raison votre Père qui est dans les cieux donnera-t-il de bonnes choses à ceux qui les lui demandent.» (Mt 7.11)

Si nous devons constater que certains malades ne sont pas guéris quand nous prions pour eux, nous sommes là devant un mystère. Et je poserais une autre question: est-ce que tous les pécheurs pour lesquels nous avons prié ont été sauvés? Pourtant nous avons demandé au Seigneur leur salut. Il y a toujours une part de mystère dans la guérison et dans le fait de la non-guérison; mais avant de dire “non-guérison” je préciserai quelque chose d’important tout à l’heure. En tout cas, c’est dans la volonté du Seigneur de guérir à moins qu’il nous donne aussi une révélation particulière. Il y avait une jeune fille qui se mourrait de la tuberculose, et dont j’ai très bien connu la famille; lorsque les serviteurs de Dieu sont venus prier pour elle, la jeune fille a dit: « Non! laissez-moi partir, j’ai eu une vision du ciel; c’est si merveilleux, je veux être avec le Seigneur!». Elle avait un visage radieux, elle était absolument métamorphosée sous l’action de l’Esprit et les serviteurs de Dieu ont dit : «Que faire?». Elle est partie dans la gloire. C’est le Seigneur qui sait comment les choses vont évoluer. Mais, en tout cas, la prière pour les malades est normale dans les temps présents. Des théologiens coupent la Bible en tranches et disent qu’il y a plusieurs dispensations : il y a eu le temps de ceci, le temps de cela et maintenant nous ne sommes plus dans le temps des miracles; c’est terminé. Or pourtant, si je ne me trompe pas, le passage que nous venons de lire dans le chapitre 5 de Jacques nous parle de la fin des temps: il y a, d’une part, la guérison des malades et, d’autre part, il y a des exhortations en vue du retour du Seigneur. Donc, ce passage est à prendre pour aujourd’hui car c’est le temps de l’espérance de l’Église, de l’attente du retour du Seigneur Jésus.

Dans ce passage, il est dit : « La prière de la foi sauvera le malade ». Ce n’est pas une certaine excitation charnelle venant de nous-mêmes, mais c’est la prière de la foi. Et le Seigneur désire que nous en arrivions à cette prière de la foi. Ce n’est pas une prière quelconque, mais c’est une prière qui exprime toute la foi de notre être qui se trouve engagée. S’il est aussi question d’onction d’huile, ce n’est pas que l’huile soit un remède, mais elle est le symbole du Saint-Esprit. Et si dans l’Église du Seigneur Jésus, on pratique parfois l’onction d’huile, c’est parce qu’on prie pour des croyants qui sont nés de nouveau sous l’action du Saint-Esprit et on les met au bénéfice de la promesse du Seigneur. Nos mains n’ont aucun pouvoir, mais lorsque nous prions au Nom de Jésus en imposant les mains à un malade, c’est dans la pensée que c’est Jésus lui-même qui doit apposer ses mains guérissantes sur le malade.

Il y a aussi dans le passage de Jacques qui nous sert de référence, la nécessité de confesser nos péchés les uns aux autres. Notre Dieu désire que l’on remonte à la source; s’il y a des péchés qui bloquent, on doit les apporter au Seigneur; cela ne veut pas dire que toute maladie est conséquence de notre péché personnel, mais cela veut dire que, si l’on prie en vue de la guérison d’un malade il faut que le terrain soit bien déblayé et que ceux qui sont présents ne laissent rien qui pourrait faire obstacle à la prière; et les serviteurs de Dieu présents doivent aussi apporter au Seigneur ce qui, peut-être, empêcherait la délivrance. Ce qui importe, c’est en tout cas, la foi manifestée. j’ai eu à prier plusieurs fois à prier pour une sœur en Christ. Quand nous l’avons connue, déjà depuis bien des années le Seigneur l’avait déjà guérie précédemment: elle était dans une chaise roulante, elle avait eu un accouchement très difficile et elle en était restée impotente. Mais voilà, que par la grâce de Dieu elle a été guérie miraculeusement: un jour elle est sortie de cette chaise roulante pour ne plus y retourner. Quand nous lui rendions visite, j’ai été étonné car elle allait chercher son mari qui travaillait dans les champs; et elle sautait allègrement par dessus les fils de clôture. Cette sœur habitait dans un endroit où il n’y avait pas d’Église évangélique; il y avait tout juste une Église réformée. Le Pasteur n’avait pas tellement la foi pour la guérison.
Mais elle lui a dit, alors qu’une opération se profilait pour elle : «il faudrait que vous me fassiez l’onction d’huile»; le Pasteur n’avait jamais fait cela et ne voulut pas faire ce qu’elle demandait. Alors elle s’est adressé au Pasteur évangélique qu’elle connaissait et le Pasteur réformé a dit «Si il vient, je viendrai aussi». On ne peut pas dire qu’il avait une grande foi, quant à moi, ma foi était un peu atténuée par sa présence. Mais le Seigneur était là et notre sœur elle avait une foi forte. Nous avons prié pour elle et l’opération a été évitée, car elle a été guérie d’une façon merveilleuse par la grâce de notre Dieu. Le Seigneur attend notre foi; il veut voir le déploiement de la foi du malade et de celle de ceux qui prient pour le ou la malade.

Et l’on peut poser la question : « Et quand Dieu ne guérit pas? ». J’ai déjà dit que c’est dans la volonté du Seigneur de manifester sa gloire à travers des guérisons. Du reste, quand on lit la liste des dons spirituels confiés par le Seigneur à son Église, il y a le don des guérisons, le don d’opération des miracles, le don de foi; trois dons qui peuvent intervenir pour la guérison des malades--ce qui n’empêche pas d’autres dons d’être mis en œuvre parfois, en particulier la parole de connaissance. Mais il y a des cas où la maladie reste maladie et où le malade ne guérit pas.
C’est ainsi que nous lisons dans les épîtres de Paul : « J’ai laissé Trophime malade a Milet »(2Ti 4.20). Il n’a pas été guéri; Paul lui-même semble avoir été victime d’un mal dont il n’a pas été guéri. Et puis, du reste, les malades qui ont été guéris par Jésus, ont été certes guéris, mais il y a longtemps qu’ils sont morts! Le malade est guéri, mais un jour, il faudra passer de cette vie à l’autre. L’important c’est de dire : « Seigneur, que la guérison soit pour ta gloire, si tu tardes à agir donne moi de rester attaché à ta promesse ». En pensant à la maladie dont on doit mourir un jour, je pense à ce verset où il est dit : « Elisée était atteint de la maladie dont il mourut ». Mais je dirai que c’est habituellement la volonté du Seigneur de guérir en réponse à la prière. Dans un grand nombre de cas, Dieu donne l’exaucement. Quelquefois il montre les raisons pour lesquelles la guérison n’a pas eu lieu. Il peut y avoir guérison immédiate : on prie pour un malade, immédiatement il est guéri. Il peut aussi y avoir une guérison progressive; petit à petit, le malade s’aperçoit qu’il est guéri. Ou bien encore, il peut y avoir guérison différée. Rien ne se passe apparemment; et voilà que tel jour ou tel autre, à des délais plus ou moins longs, soudain le malade est envahi par une puissance de guérison et le Seigneur agit.

Dieu peut intervenir comme bon lui semble. Mais Dieu peut aussi donner des raisons pour lesquelles la guérison n’a pas eu lieu. Des personnes sont superstitieuses : Dieu a dit qu’il ne leur donnerait pas sa gloire. Il y a des gens qui vont à la fois à l’Église pour être guéris, et qui vont aussi chez un guérisseur. Je ne parle pas de la médecine conventionnelle, car c’est normal d’aller voir le médecin; nous ne sommes pas du tout contre la science médicale ou la science pharmaceutique, ou la science chirurgicale. Au contraire; nous disons que là, les choses peuvent très bien se conjuguer, et certains médecins le savent très bien. Je pense ici à une dame que j’ai baptisé qui a été améliorée pendant un bon moment dans sa santé et qui n’a jamais été guérie. Elle était atteinte de la maladie de Parkinson. Mais un jour, elle m’a dit : «Au fond je ne désirais pas tellement être guérie, parce que j’aurais perdu ma pension d’invalidité!». Alors elle venait pour être améliorée, simplement. Attention! Il faut mettre là toute sa conviction, tout son désir. En tous cas, d’une façon générale, les chrétiens peuvent avoir recours à la prière pour obtenir la guérison; Dieu agira par les voies et moyens qui lui semblent bons. Mais nous savons que le Seigneur, Lui, il fait bien tout ce qu’il fait; le tout est que nous venions humblement à Lui, en confessant nos péchés, en abandonnant nos péchés et il nous faut avoir un cœur humble et sincère, soumis, attendant de Sa part la guérison.

C’était donc dans le ministère de Jésus de guérir les malades, et c’est dans la volonté du Seigneur que ceux qui croient en Lui, s’attendent à la guérison, et pour cela utilisent le moyen de la prière. Un enfant revenait de l’école du Dimanche, il avait entendu des récits de guérisons, et il a demandé à sa mère : « Dis-moi, Maman, pourquoi Jésus n’était pas d’accord avec Dieu, avec son Père?»;la mère lui a demandé de s’expliquer : « C’est bien simple : tu as dit toi que c’est Dieu qui envoie la maladie, et aujourd’hui à l’école du Dimanche on m’a appris que Jésus guérissait les malades; alors Jésus défaisait ce que Dieu faisait!». C’est vrai qu’il y a tellement de gens qui disent : « C’est que Dieu l’a voulu! ». Je ne dirais pas que Dieu l’a voulu; Dieu l’a permis mais la maladie est une œuvre du Diable et Jésus est venu pour détruire les œuvres du Diable.

Je vais préciser à nouveau à ceux qui se poseraient encore la question par scrupules : le chrétiens doivent-ils avoir recours aux médecins et aux remèdes médicaux? Luc, compagnon de voyage de Paul était lui-même médecin. Et puis considérons la nature : une tisane de tilleul a des propriétés apaisantes, de même pour la menthe, la verveine, etc ...Dieu a mis dans la nature même les principes de guérison; parfois nous sommes encouragés, parce qu’un médecin a prescrit tel remède dont la composition est faite d’extraits de plantes qui existent dans la nature. De même la plupart des antibiotiques, à l’origine, ont été découvert dans des champignons et moisissures, avant d’être reproduits industriellement. Donc Dieu a créé la nature et y a mis des principes de guérison et a aussi donné au croyant des possibilités d’être guéris miraculeusement.

C’est vrai que le péché doit être abandonné et confessé, sinon il fait obstacle à la guérison. Dans l’Ancien Testament, la sœur de Moïse, Myriam, a été frappé de lèpre car elle a péché en médisant au delà de ce que Dieu permettait. Le Roi Ozias a profané aussi le Temple du Seigneur et est aussi devenu lépreux. Le serviteur d’Elie, Guéhazi, est devenu lépreux. Le Péché peut être parfois cause de maladie; et l’on sait très bien que celui qui boit de trop aura peut-être un jour une cirrhose du foie. On sait très bien que des abus de certains produits, et même de la nourriture riche, mènera parfois à des conséquence funestes. Au paralytique guéri, Jésus dit : « Va, ne pèche plus de peur qu’il ne t’arrive quelque chose de pire ». Donc, abandonnons tout péché au pied de la croix et sachons que le Seigneur, a prévu la guérison.

Si nous désirons être guéris, ce doit être dans un but très précis. Non seulement pour ne plus souffrir, mais aussi dans le but que Dieu soit glorifié. Un Pasteur que j’ai connu voyait toute une file de malades s’avancer pour que l’on prie pour eux, et en particulier une jeune fille; «Vous désirez être guérie? »--« Oui »--« Et pourquoi? »--« Parce que je souffre à un pied, je me suis fait une entorse et ainsi je ne peux pas aller au bal ». Le pasteur a dû lui dire que ce n’est pas à la gloire de Dieu qu’elle allait au bal et si c’est en vue de cela qu’elle demandait la guérison, il ne pouvait pas prier pour elle. il faut vraiment demander quelque chose qui soit à la gloire de Dieu pour que Dieu soit servi, pour qu’il soit honoré.

Je vais conclure en disant que, si nous voulons que Dieu nous guérisse dans notre corps, nous devons commencer à rechercher si en nous, il n’y a pas de péché qui bloque, qui empêche. Nous avons parlé un autre jour du Notre Père, et aussitôt après cette prière, Jésus dit : « mais si vous ne pardonnez pas aux hommes, votre Père ne vous pardonnera pas non plus vos offenses.»(Mt 6.15). Si il n’y a pas de pardon vis à vis de quelqu’un, si on garde rancune, si la paix n’a pas été établie entre ces personnes et nous, il y a un obstacle. Il faut que l’obstacle soit levé. Un souvenir me revient de loin. Il y avait un homme qui était bûcheron; une de ses filles a été guérie miraculeusement de ses crises d’épilepsie du jour au lendemain. Cela a amené au Seigneur toute la famille; mais le père était faible avec ses enfants; il a permis que certains de ses enfants aillent dans la “voie large”, la voie du monde. Le Pasteur avec lequel je faisais équipe est allé trouver cet homme en lui reprochant son indulgence exagérée, qui mène à la voie de la perdition. Cet homme s’est fâché avec le Pasteur et il a cessé de venir au culte. Jusqu’au jour où il homme est devenu tuberculeux; il s’est souvenu alors de Dieu, il a fait appel au Pasteur et celui-ci lui a dit qu’il fallait d’abord confesser son péché. Il l’a fait et une prière a été faite; quelques jours après, je rendais visite à cet homme; il n’était pas là car il était déjà reparti couper du bois après sa guérison. Voyez, il nous faut confesser nos fautes les uns aux autres afin que la guérison soit manifestée. Que rien ne fasse obstacle à nos prières comme il est dit dans la lettre de Pierre.

Pour nous, nous savons que notre Dieu est le Dieu qui guérit. On le sait déjà quand on se brise un os : qui met de la soudure sur la fracture? Qui permet la cicatrisation d’une coupure? Le Seigneur a mis dans notre corps même les éléments de la guérison. Alors, ne doutons pas que notre Dieu aussi dans son plan à l’égard des siens apporte la guérison. En face de la guérison restons humbles; un serviteur de Dieu qui a eu un ministère puissant dans des dons de guérison disait : « Je ne sais pas comment le Seigneur s’y prend quand je prie pour un malade, pour le guérir; puis je ne comprends pas pourquoi certains malades ne sont pas guéris immédiatement quand je prie pour eux; mais je fais confiance au Seigneur» .

Moi aussi je fais confiance au Seigneur, je crois que quand nous nous attendons à Dieu, nous sommes presque en droit, de nous attendre à la bénédiction, à la guérison, à la délivrance. Restons cependant humbles devant le Seigneur, par rapport à tout cela, et faisons lui confiance, il est le Dieu d’amour.

Amen!

Source:Lueur

Nouvelle alliance


Nouvelle alliance



Or (la preuve qu'elle n'était pas irréprochable nous est donnée par cette parole où) le Seigneur déclare sous la forme d'un reproche (contre les juifs) :
"Voici, des jours viendront, dit le Seigneur, où je conclurai avec la maison d'Israël et la maison de Juda une nouvelle alliance. Elle ne ressemblera pas à celle que j'ai conclue avec leurs ancêtres lorsque je les ai pris par la main pour les faire sortir d'Egypte.
Comme ils ne sont pas demeurés fidèles à mon alliance, moi aussi, de mon côté, je me suis détourné d'eux, dit le Seigneur. Mais après ce temps-là, je veux contracter une autre alliance avec la maison d'Israël, dit le Seigneur : Je ferai pénétrer mes lois dans leur pensée, je les graverai dans leur coeur. Alors vraiment, je serai pour eux leur Dieu, et ils seront pour moi mon peuple. En ces temps-là, il ne sera plus question de s'instruire l'un l'autre, et de dire à son concitoyen ou à son frère : Apprends donc à connaître le Seigneur. Car tous me connaîtront, du plus petit jusqu'au plus grand. Je pardonnerai leurs mauvaise actions, je ne me souviendrai absolument plus de leurs péchés."Hébreux 8.8-12 (Parole Vivante)

Matthieu 7.12-20

12 Tout ce que vous voulez que les hommes fassent pour vous, faites-le de même pour eux, car c'est la loi et les prophètes.
13 Entrez par la porte étroite. Car large est la porte, spacieux est le chemin qui mènent à la perdition, et il y en a beaucoup qui entrent par là.
14 Mais étroite est la porte, resserré le chemin qui mènent à la vie, et il y en a peu qui les trouvent.
15 Gardez-vous des faux prophètes. Ils viennent à vous en vêtement de brebis, mais au dedans ce sont des loups ravisseurs.
16 Vous les reconnaîtrez à leurs fruits. Cueille-t-on des raisins sur des épines, ou des figues sur des chardons ?
17 Tout bon arbre porte de bons fruits, mais le mauvais arbre porte de mauvais fruits.
18 Un bon arbre ne peut porter de mauvais fruits, ni un mauvais arbre porter de bons fruits.
19 Tout arbre qui ne porte pas de bons fruits est coupé et jeté au feu.
20 C'est donc à leurs fruits que vous les reconnaîtrez.



HOW BIG THE HARVEST?

HOW BIG THE HARVEST?

There are many different factors that can delay your harvest from happening in the present tense. There are different kinds of harvests that we can pray for and believe for. For our consideration in this article, we shall limit the meaning of harvest to the in gathering of persons into the Divine Kingdom out from captivity by forces of darkness.

This author has been writing diligently for the last several years to elaborate upon significant factors that help usher in this particular harvest. These writings will be placed together in a packaged format called: HELPS FOR THE HARVEST. That package will be first in a CD text format. Then, it will be an audio format. Later, it will be presented in a self-published book. Even later, it may be made available in Christian stores around the U.S.A. and in several nations. We will see what the Spirit of the Lord accomplishes for us in that regard.

Of course then, we can not elaborate on every factor about accelerating this harvest in this one article as the Holy Spirit has dealt with me concerning it. However, there are some striking applications to present from our chosen narrative text for this article, which is Luke
5:1-11. It is for that reason that this author has chosen to provide an expository explanation of what he feels that Jesus was communication that day through HIS actions and HIS words as seen in that said text.

Before presenting such, this author wants to clearly communicate to you that he does not consider himself to the foremost expert on evangelism. Neither does he consider himself to be the greatest soul winner of all time. Neither does he consider himself to be the greatest coach in relationship to evangelism training of others for personal evangelism encounters. However, this author is grateful to God for the effectiveness in sharing the gospel in many social situations through the years. He is also grateful to God for being able to stay active even today in sharing gospel concepts to others. Furthermore, this author is grateful to for the obvious success that he has had in providing evangelism training workshops that have freed Christ disciples to more effectively share their faith on a daily basis in their work situations and in their neighborhood situations. What is shared for the people is not a style of
"confrontational evangelism". Rather, a style of evangelism that is shared could be called "Spirit-led Friendship Evangelism".

There are recorded comments from individuals that have been helped in such a way as to be able to consistently share Biblical concepts. There are recorded comments from Pastors who were thrilled to see their people grow in the confidence of this grace. These comments can be made available to you upon request..contingent upon the number of requests at one time and our financial ability to send them all out.

Therefore, this author does feel qualified to "start a good conversation" about what it takes to set the atmosphere for massive numbers of persons coming into the Divine Kingdom. Someone else may then enter into the conversation and provide additional tools for evangelism that I may not have yet considered or tried. That's okay. That would be a delight to this author, who wants to keep grasping any additional tools for the harvest that Pastors can be directed to. Nevertheless, let us get this helpful conversation based on the Luke 5:1-11 narrative started as it is about a most important concern for these last days that we live in.

In this said narrative, Jesus was using a miracle performed by HIM in a natural situation (the great catch of fish) to make a point to these fishermen about what HE could do in developing them to become what He called "fishermen of men" in spiritual concerns. Luke 5:9 indicates that all of these fishermen "were ASTONISHED" at the catch of the fish which they had taken". (This author has inserted the capitalization of one word herein by this author to emphasize a particular emotional response from these fishermen.) Therefore, Jesus pointed to a future harvest through these men that would be ASTONISHING. It would not be as the small in gatherings of persons that we have been experiencing at various seasons at most points of church history.

That which Jesus declared HE could do in developing these men; Jesus Christ did, indeed, demonstrate (through the power of the Holy Spirit) that HIS claim to make them fishermen of men to the measure of multitudes of persons like the multitudes of fish that day was valid. The history of the Book of Acts and from other writings validates HIS claim that HE made that day to them, as in Luke 5:10 compared to Luke 5:9.

Let us look at the evidence found in the Book of Acts from the beginning onward. On the Day of Pentecost, the Acts chapter 2 account tells us that 3000 persons were brought into repentance and submission unto the Lord Jesus Christ, as in Acts 2:41. After that, this Christ fellowship continued to grow on a daily basis, as in Acts 2:47. Growth on a dailyu basis extended to a one year term means that there would be, at least, 365 persons gathered unto HIM. That would be only one person per day. There could be far more that. That would be the very least amount.

Further evidence of ASTONISHING growth in new conversions is seen. After the miracle supernaturally provided for the man lame from birth followed by that man's leaping bounds into the Temple seen by many persons knowing of the certainty of this man's life time handicap, there was a great number of persons gathered together at Solomon's porch where Peter and John were with this man just healed of immobility. Seeing the multitude of persons gathered around them, Peter opened his mouth to provide a strong presentation for the claims of Jesus the Nazarene as the divinely designated Messiah and Savior for HIS people. Before Peter and John could bring a conclusion to their thoughts, the company of religious leaders (the priests, the captain of the temple, and Sadducees) "laid
hands upon them, and put them in custody until the next day, for it was already evening", as in Acts 4:3. These arresting action did not keep everyone from believing what Peter taught them as "the many of those who heard the word believed" to the number of five thousand men, as in Acts 4:4. Let us review the possible numbers so far. Three thousand on the Day of Pentecost followed by at least the daily additions plus five thousand after this said incident. That would equal to at least 8000 persons.

By the way, we can see from these scriptural references cited in this last paragraph that dramatic healing played a significant part in the growth of new conversions to the Divine Kingdom of God. The general history record about this found in the Holy Writ is found in Mark 16:20. which reads: "Then the disciples went out and preached everywhere. The Lord worked with them and confirmed His word by the signs that accompanied it"(the preaching of the word). In Acts 9:40-42, there is an account of Peter speaking life instructions to Dorcas, who had died. As a result, this resurrection from the dead was noised abroad all over Joppa and many people came to believe in the Lord Jesus Christ.

Acts 5:12 indicates that there were many miraculous signs and wonders performed by the Holy Spirit through the apostles among the people in Solomon's Colonnade. As a result,more and more men and women believed in the Lord to be added to the number of increasing converts, as in Acts 5:14. Verses 15 to 16 speak of how this resulted in many more sick be placed in a position where Peter's shadow could fall upon them when he walked by them on the streets. They were healed as his shadow fell upon them. The result of all this that happened filled the Sadducees with great jealousy; therefore, we know there was much said about it.

Acts 6:7 reads: "So the word of God spread. The number of disciples in Jerusalem increased rapidly, and a large number of priests became obedient to the faith." Despite the violent and stern opposition of the religious leaders of Israel against the Body of Christ, it continued to grow rapidly and those newly converted soon became strong disciples.
Even among the priesthood, there were many converted to the Lord Jesus Christ despite everything the priesthood tried to do against these people.

These scriptural references certainly confirm that Jesus was very capable in developing these fishermen to be fishermen of multitudes of people in a relatively short period of time. The number of converts to the faith in Jerusalem alone in those first few years were, at least, twenty five thousand in number according to reports from historians. There were many who visited Jerusalem and went back to their homelands as new disciples not counted in the historical counts.

Why does this not happen with us today? We are not as closely connected with Jesus, the Lord of the harvest, as they. However, the Holy Spirit keeps working with us to teach us more about what Jesus taught HIS disciples about being fishermen of men. The Holy Spirit is working with the true church belonging to HIM to put us into the position for a great harvest of souls just before the wrapping of all things in Christ Jesus.

Now back to the narrative text. Luke 5:3 indicates that Simon allowed Jesus to use his boat as a platform for teaching the people. This brings up the principle of giving. Jesus makes sure that every act of giving is rewarded when given with the right kind of attitude. Jesus said that even a cup of cold water given to one of HIS disciples would not go without being rewarded. Pastors, you would do well to give as much special attention to a segment of teaching about the principles of giving as you would devote preparation time for any general message from the Word of God. You would be doing your people a great favor by doing so. Either you or someone that is a capable workman of the Word needs to teach the people just before receiving the tithes and offering from them. Many Pastors
have experienced tremendous finances poured in beyond the congregation's ability to give after they have faithfully taught on the giving principle.

Place great emphasis upon this in your ministry. If you are not sure that you are aware of all that you need to teach them on this great subject, you can visit a Christian book store that can direct you to books and resources that are available for this. Most Christian book stores today have on-line services that are able to tap into all book and magazine publishing companies that serve the Divine Kingdom.

Furthermore, it stands to logic that if money is important to the furtherance of the gospel message and Divine Kingdom interests; Pastors should be aware of some practical advice to give to people about how to obtain jobs best befitting them and how to go about establishing their own businesses. Information about these matters can obtained through contacting your local Chamber of Commerce offices who know of government and business agencies that would be of help to you. A few hours of your time investment could make you much more beneficial to your people. In addition, it would serve Pastors well to visit the Mayor and/or City Manager in their town with a spoken desire to be of help through the instrumentality of prayer for them concerning their duties and ask for advice about these matters of being of help to the people.

This will unlock resources not only about the areas just mentioned in this paragraph; but, also, it could be of help to you in the area of having access to clothes and food for the poor plus assistance with their utility bills in their times of crisis.

Another principle is found in this Luke 5:1-11 narrative text.
When the great catch of fish was manifested, the men in Simon's boat called out for their partners in their boat to come alongside them and help them harvest this phenomenal catch which caused both boats to be so full that began to be lowered into the water. Therefore, they had to bring the nets full of fish onto the shore as quickly as possible to keep their boats from sinking. This is verified by Luke 5:6-7. The principle that is found here is the power of unity. What would you think if one of your Pastor friends explained to you that his church is full in several multiple services and that he needs to transfer some of his people over to your church. You might faint while he is talking to you.

How many boats could Jesus have filled with an astonishing catch of fish? The answer is that we do not know. We do not know because HE simply filled the only boats that were available at the time, which were two. See first phrase of Luke 5:2. If there were ten boats, HE could have filled ten boats with fish. No one Pastor and his congregation can service the entire city or town with the benefits of the gospel; however, Pastors and their congregations that team together with each other can certainly provide an atmosphere wherein the entire city can be substantially impacted with the claims of the Lord Jesus Christ.

There are many ministry projects that Pastors can work together to accomplish to the glory of God. An Evangelical newspaper sponsored by several churches and business companies owned by Christians could have an powerful impact upon a large community. It could be easily distributed to access by thousands with volunteers from many churches. It could present a clear and simple salvation message plus instructions about how to receive Jesus Christ as Lord and Savior. It could also provide some instructions for new converts to faith. Once a large enough number of churches and companies committed to it on a monthly basis, it would easily flourish and blossom to be what people would look forward to reading. It could be passed out to people on the streets as part of the street outreach ministry especially if it had the plan of salvation in it.

Another area of ministry projects that Pastors can combine their resources together for a great impact upon a community is community park concerts with church sports tournaments. A crowd naturally draws a greater crowd of people wanting to know what is going on in the park. Information about the goodness of the Lord and the plan of salvation could be passed out to people coming to see what is going on.

In my visits to churches to minister to Pastors in hopes of directing them to tools for the harvest, I have heard and seen some great preaching by Pastors that are obscure to the general public and their congregations are small. The worship team of the congregation is simply outstanding. If they have a hindrance to growth, it is simply that too few people know about what they have going on within their four walls. Having a media outlet for their preaching and worship ministries would be a great boost for their church; however, they do not have the finances to make a long term financial contract with radio or television ministries to get the preferred time for exposure. What is the possible solution for them?
Team up with another minister that has purchased the right slots and is willing to share some of his or her time for a smaller financial pay. In other words, another minister may have purchased an entire week of broadcasting time at a certain preferred time and a Pastor with less financial resources could use fifteen to twenty minutes only once per week. I am presently doing this with a Pastor friend and it is working well for both of us. He uses five minutes as that is his choice and I use some 24 minutes of the remainder of the time on only one night per week. In other words, get your foot into the door no matter how small the crack even if it is for only a five minute or less broadcast time and with the help of others, it may grow into a bigger opportunity once people hear you after a period of time has passed.

Pastors could be on a television or radio interview format once a year and pay a portion of the cost of the program expenses then be enabled
to purchase a DVD of the program for a small cost of $25.00 that could be used for promotional purposes.

With the Billy Graham crusades for several years, we saw the power of Pastors and volunteers combining resources with the Billy Graham ministry team to make huge impacts upon cities with mass evangelism events.
We need to be praying for that same kind of impact to be raised up again.
It will take long hours of work by some people to make it happen in the cities of the U.S.A. and willingness for Pastors to work together.

There are great potentials for the harvest of souls beyond what we could ask, think, or imagine (Ephesians 3:20); if, we will intensity our love for the Lord Jesus Christ and work together these principles. Jesus told HIS original disciples that if you have MY love operating in you toward one another, then the world will know that My Father has sent Me and that I have sent you to them, as in John 13:34-35 & 17:23. The same applies for us today as ministerial leaders.

PRAYER: Heavenly Father, help us through the power of the Holy Spirit to expand our vision of expectation about the harvest of persons that can be brought into YOUR Divine Kingdom in this hour. Teach us how to better cooperate with each other and make that tremendous impact upon our communities and our cities. This we pray in the name of Jesus.

This article was written by Kent Fowler, Evangelist, credentialed with World Ministry Fellowship International. Evangelist Fowler lives inCarrollton, Texas with his wife, Karen.