mardi 16 novembre 2010

Le mystère de la prédication par Arthur Katz


Le mystère de la prédication par Arthur Katz


Si nous sommes appelés à quelque chose, c’est à être les porte-paroles de la Parole de Dieu. Il y a une pléthore de messages, une quantité de cassettes et de vidéos, et pourtant au milieu de tout cela, il n’y en a que peu qui puissent être reconnus comme étant la Parole du Seigneur.

Nous avons besoin d'une perception profonde et nouvelle de ce "saint sacrement".

Le premier discours du ministère béni de Jésus eut lieu à la synagogue de Nazareth, où il Lui fut remis le rouleau d'Esaïe, dont Il a commencé à lire à partir du soixante et unième chapitre.


"L'Esprit du Seigneur est sur moi parce que l’Éternel m'a oint pour prêcher..." (Luc 4:18)


Il y a un lien de connexion entre l'onction et la prédication, mais la prédication qui n'est pas ointe n’est pas une prédication mais seulement de l’éloquence.

Il y a, par conséquent, une qualité insolite et particulière qui distingue la vraie proclamation apostolique de toute autre prédication. C'est un phénomène remarquable qui relève d'une question de vie ou de mort parce que "comment donc invoqueront-ils celui en qui ils n’ont pas cru? Et comment croiront-ils en celui dont ils n’ont pas entendu parler? Et comment en entendront-ils parler, s’il n’y a personne qui prêche? Et comment y aura-t-il des prédicateurs, s’ils ne sont pas envoyés?" (Romains 10:14-15)

Ceci est le cœur de la pleine mission de l'Eglise, en particulier à l'égard des Juifs. Le monde incroyant attend un certain genre de prédication que j'appellerai "la proclamation apostolique".

C’est la prédication de celui qui est envoyé. Dieu donne l’Esprit sans mesure à celui qu’Il envoie.

Cet envoi est critique, c’est donc pour cela que Dieu établit des communautés qui servent de base pour envoyer les prédicateurs.


La vraie prédication et l'élaboration d'un sermon doivent être mises en confrontation avec une contradiction.

La prédication est une catégorie à part entière en elle-même.

Elle appartient au domaine de l'impossible.

Nous avons beaucoup d'hommes aujourd'hui qui sont persuasifs et qui savent jouer avec les mots.

Ils ont même embrassé des carrières grâce à leur habileté oratoire. Si vous êtes attirant, avez le don du baratin et un bon sens de la gestion des ressources humaines, vous pouvez aller loin dans le monde religieux d’aujourd'hui. Cependant, la vraie prédication ne peut pas venir de ce monde. C'est un phénomène tout à fait divin et surnaturel. C'est la Parole de vie. Elle ravive les morts. L’entendre constitue un "événement". Elle met en marche des choses qui ont une myriade de conséquences, et a une puissance et une vie en elle-même. C'est une Parole qui vient du trône de Dieu.


Ironiquement, ce genre de parole doit trouver son expression à travers la bouche d'un "vase de terre" (2 Corinthiens 4:7) qui se tient devant les hommes, et cela, c'est la formule même du désastre. C’est là un assemblage de contradictions si diverses que si vous le compreniez vraiment, ou deviez le comprendre, vous ne trouveriez rien de moins agonisant. Il n'existe cependant pas de plus grande joie que d'exprimer le fardeau que Dieu a donné aux personnes qui recherchent Son cœur, et qui, de ce fait, entendent et reçoivent la Parole de Dieu.

De même, il n'y a pas de plus grande angoisse que l'idée que la Parole puisse s’étrangler dans votre gorge parce que vos auditeurs n'y prêtent pas attention. De même le succès d’hier ne garantit pas le succès d'aujourd'hui. C'est le même tremblement, la même crainte, la même incertitude et le même sentiment accablant de l'impossibilité apparente de la tâche. Ce paradoxe et sa terrible contradiction doivent imprégner profondément notre conscience; la Parole de Dieu va devoir sortir de la bouche d'un "vase de terre" humain, mais la Parole elle-même est divine et céleste. Ce n'est pas comme si l’instrument dont se sert Dieu était une certaine chose pratique de neutre, qui ne participe pas au processus. L'orateur y est très impliqué, parce que le Seigneur utilise la personnalité de l'homme, son accent, sa disposition, et son cœur. Donner la prédication est une lutte et un défi ultime chaque fois qu'elle est mise en œuvre. On peut faire beaucoup de bons discours bibliques, mais c’est loin d’être la même chose que de communiquer les Écritures comme étant la Parole de Dieu pour ce moment précis et pour ces personnes. Seul ce phénomène a la puissance de constituer "un événement" au lieu de communiquer simplement des connaissances bibliques. Nous devons distinguer ces deux choses, et probablement quatre-vingt-quinze pour cent de tout ce que le chrétien prêche et enseigne se trouvent être un enseignement au sujet de Dieu, ou une construction de messages bibliques composés d’anecdotes intéressantes et perspicaces, mais qui ne constituent pas l'expression de la Parole de Dieu.


Nous sommes devenus tellement dilués à force d’entendre "l'autre", que si le message a l’air biblique et doctrinal, nous pensons qu'il s'agit d'une vraie prédication. Cependant, nous avons mal compris le caractère tout à fait surnaturel du fait qui consiste à communiquer la Parole de Dieu, et donc nos auditeurs quittent la salle sans être changés. Nous ne grandissons pas de foi en foi, et de gloire en gloire, parce que nous ne sommes pas allés d’un "événement" à un autre "événement. Nous sommes seulement allés du prévisible au prévisible, et si c'est correct et biblique, nous partons avec une certaine mesure de satisfaction, mais nous resterons sans voir de changement. C'est un mystère, et toute l'église a besoin qu’une norme soit dressée devant elle, plus élevée que ce qu'elle a perçu jusqu'à maintenant pour reconnaître la réalité des Écritures telle qu’elles sont : la Parole de Dieu. Nous ne devrions pas oser monter sur l’estrade, ouvrir la Bible, racler notre gorge, attirer l’attention de la congrégation, dire une prière, ouvrir nos bouches, et commencer à parler, sans un sentiment terrible d’appréhension en raison de cette grande responsabilité qui nous incombe à ce moment précis. Si ce n'est pas la Parole de Dieu, une sorte de mort sortira de nos bouches, au lieu de la vie. Il n'y a aucune neutralité là. Ou bien nous allons transmettre la vie de Dieu, ou bien il y aura un engourdissement et une monotonie qui viendront par l'écoute d’un discours qui est "seulement" bon. Il vaudrait probablement mieux ne pas l’écouter du tout! Le silence est plus à désirer qu'un sermon qui est seulement bon, mais qui ne peut pas communiquer la Parole de Dieu en tant que vie de Dieu. Le résultat est un affaiblissement de la sensibilité spirituelle.

(...)SUITE DE L'ARTICLE SUR...link

mardi 9 novembre 2010

Mes publications


Mes publications

1-La foi des 10 lépreux

2-Accrochez et détachez vos éléments dans Windows 7

3-Le temps de vivre une expérience avec Dieu est arrivé !

4-Témoignage de Daniel Julien

5-5 nouveaux thèmes graphiques pour Gmail

6-RockMelt : les réseaux sociaux s'invitent dans un navigateur

7-Les persecutions.

8-Lire et découvrir la bible

9-Le véritable Ami !

10-Glisser et tomber?

11-Les 4 clefs du discernement.

12-Les débuts du Pentecôtisme: « La vérité doit être dite »

13-VETERAN'S DAY

Le temps de vivre une expérience avec Dieu est arrivé !



Le temps de vivre une expérience avec Dieu est arrivé !

"Tu te lèveras, tu auras pitié de Sion ; car le temps d’avoir pitié d’elle, le temps fixé est à son terme." Psaume 102.14

L’être humain est ainsi fait, il oublie si vite les meilleures choses. Ne pensez pas être anormal de ce point de vue, vous êtes comme tout le monde, c’est ainsi que notre nature humaine nous humilie !

"Cette épreuve, c’est l’occasion pour vous de vivre une délivrance, un secours particulier, un exaucement miraculeux, une bénédiction aujourd’hui !"

Vous vivez avec Dieu, vous ne l’avez pas oublié du tout, chaque jour vous prenez du temps pour être avec lui, dans la lecture de sa bonne Parole, dans la prière et l’adoration, vos pensées vont vers lui et tout ceci est si bon !

Mais voilà une épreuve inattendue, un coup dur, un échec, un problème financier imprévu, un gros souci de santé, un gros revers professionnel, une forte déception avec votre enfant, et là tout d’un coup les questions affluent, toujours les mêmes : "Mais pourquoi ?" et vos réponses ne sont pas moins simplistes : "Pourtant je prie et je lis ma Bible tous les jours, je vais à l’église, j’aime le Seigneur." Et que dire de vos constats, là encore tellement prévisibles : "Là, je ne comprends plus rien !"

Stop, arrêtez de gaspiller inutilement votre énergie spirituelle, et comprenez une chose : cette épreuve, c’est l’occasion pour vous de vivre une délivrance, un secours particulier, un exaucement miraculeux, une bénédiction aujourd’hui ! Le temps de vivre une nouvelle expérience avec votre Dieu est arrivé, donc pas de panique ! Bien entendu, là tout de suite, maintenant, pendant que vous lisez ces lignes, vous ne voyez même pas comment Dieu va pouvoir s’y prendre pour vous sortir de là. Et alors ? Il le sait déjà. Ce qu’il attend c’est le feu vert de votre foi ; quant à la suite, elle lui appartient.

Pas question que vous finissiez par oublier la puissance miraculeuse du Seigneur dans votre existence, pas question que votre foi devienne un musée poussiéreux, ni même de vivre de souvenirs, bénis certes, mais déjà dépassés. Votre Dieu est le même aujourd’hui. Le moment est venu de lâcher prise, de reconnaître que sans Dieu dans votre vie vous ne pouvez rien faire de bon et parfait, et de vous soumettre à sa volonté, de lui faire confiance. Il ne vous a pas oublié, et il vous a déjà préparé un avenir au-delà de vos espérances. N’oubliez pas, votre Père ne vous éprouvera jamais au-delà de vos forces. Bannissez la crainte, et laissez Dieu agir. Oui, le temps de vivre une nouvelle expérience avec Dieu est arrivé pour vous aujourd’hui. Réalisez-le !

Une confession de foi pour aujourd’hui

Seigneur, je panique en face de cette difficulté et je ne comprends pas pourquoi elle arrive maintenant, mais je décide de confesser que le temps de vivre ton secours miraculeux est arrivé pour moi, et je m’installe dans cette logique de foi en comptant sur ta grâce. Amen

Samuel Foucart

Les persecutions.


Les persecutions.

Jacques 1 :2-4 « Mes frères, regardez comme un sujet de joie complète les diverses épreuves auxquelles vous pouvez être exposés, sachant que l'épreuve de votre foi produit la patience. Mais il faut que la patience accomplisse parfaitement son oeuvre, afin que vous soyez parfaits et accomplis, sans faillir en rien »

Les diverses épreuves dont nous parle l’Apôtre Jacques sont les moments difficiles que nous traversons durant notre vie chrétienne à savoir la maladie, la déception, la trahison, la faim, les besoins matériels et financiers…

Toutes ces épreuves n’ont qu’une seule cible : Notre foi. Durant toute la semaine, nous verrons comment les épreuves peuvent détruire la foi ou la rendre plus forte. Le verset 3 (Jacques 1 :3) nous dit que l’épreuve de notre foi produit la patience, ce qui veut dire que l’épreuve n’est pas le résultat mais une semence qui doit produire du fruit qui est la patience. En d’autres termes, l’épreuve est l’usine de fabrication de la patience. La patience est indispensable dans la vie chrétienne car concernant toutes les promesses, Dieu a fixé un temps particulier selon son plan et son plaisir. Au verset 4 (Jacques 1 :4), la parole nous dit que même après la production de la patience, le travail n’est pas achevé car il faut que la patience accomplisse parfaitement son œuvre qui est le perfectionnement pour ne faillir en rien. Le perfectionnement se fait par la destruction de la chair dans le seul but d’édifier l’esprit. La patience fait parti des fruits de l’Esprit énumérés dans Galates 5 :22 et on ne pourra pas parler d’une véritable foi sans la patience car notre chair a naturellement besoin de voir les choses se réaliser le plus rapidement possible et une telle attitude nous sépare de la volonté de Dieu qui veut que nous nous conformions à son temps. Le plus grand défi lancé par l’Apôtre Jacques (Jacques 1 :2) est quand il nous demande de nous réjouir au milieu des épreuves alors qu’elles nous font souffrir. A chaque fois que l’épreuve intervient sur notre chemin, la meilleur attitude est de comprendre qu’il s’agit d’une opportunité pour nous rendre plus forts mais à condition de la surmonter. Le seul moyen de surmonter l’épreuve est d’éviter des paroles ou pensées négatives, éviter les murmures et lamentations et surtout remercier Dieu pour toutes les bonnes choses qu’Il a déjà faites pour toi malgré les moments difficiles que tu traverses. La volonté du diable est que tu te décourages en cessant de prier ou en confessant des paroles négatives alors que Dieu veut que tu Lui donnes un sacrifice de louanges AU MILIEU DES PROBLEMES , ce qui est une preuve de foi et de confiance.


2.

Actes 16 :25-26 «Vers le milieu de la nuit, Paul et Silas priaient et chantaient les louanges de Dieu, et les prisonniers les entendaient. Tout à coup il se fit un grand tremblement de terre, en sorte que les fondements de la prison furent ébranlés; au même instant, toutes les portes s'ouvrirent, et les liens de tous les prisonniers furent rompus »

Les épreuves qui doivent produire de la patience et la patience doit nous perfectionner pour ne faillir en rien. Si aujourd’hui il t’arrive de faillir quelque part, cela veut dire qu’il y’a encore une série d’épreuves sur ton chemin. En résumé, la procédure se présente comme suit :

* Les épreuves
* La patience
* Le perfectionnement afin de ne faillir en rien

Nous allons voir comment on peut donner un sacrifice de louanges au milieu des problèmes et l’effet spirituel d’une telle attitude.

Le verset du jour nous parle de Paul et Silas qui étaient liés et emprisonnés après avoir été battus de verges.

Le passage commence en disant : « Vers le milieu de la nuit… ». La nuit peut être spirituellement interprétée comme un problème, un moment difficile, où rien ne marche car tout est obscur. La révélation que le Saint-Esprit m’a donné sur ce passage, c’est que Paul et Silas n’ont pas attendu le matin pour prier et chanter les louanges de Dieu mais ils l’ont fait au milieu de la nuit, en d’autres termes ils l’ont fait au milieu des problèmes. Il l’ont fait malgré les chaînes qui liaient leurs jambes et leurs corps qui saignaient encore à cause des coups de fouets.

Le passage dit que tous les prisonniers les entendaient chanter des louanges à Dieu, ce qui veut dire que quand nos lèvres ne confessent que des paroles de louanges sans nous lamenter ou murmurer, ceux qui sont autour de nous (qui sont également liés c-à-d qui ont aussi des problèmes) nous entendent et nous leur communiquons la vie et l’espoir. Le même passage nous dit qu’au milieu des louanges, toutes les portes se sont ouvertes et les liens de tous les prisonniers furent rompus. Non seulement les louanges de Dieu nous libèrent de nos propres problèmes, mais elles peuvent libérer ceux qui sont autour de nous car c’est au milieu des louanges que Dieu déploie Sa puissance pour briser les fondements de notre prison.

Jean-Pierre VINCENT pour ALLOLECIELESTOUVERT.COM


source : facebook


Les débuts du Pentecôtisme: « La vérité doit être dite »

Les débuts du Pentecôtisme: « La vérité doit être dite », par Frank Bartleman

Frank Bartleman fut un témoin oculaire de l’effusion du Saint-Esprit en 1907 à la rue Azusa, de Los Angeles. On a pu l’appeler « le reporter du Reveil Azusa Street ». Ce qu’il raconte est très éloigné de ce qui est pratiqué actuellement dans les églises dites « de Pentecôte ». Se peut-il que ces mouvements soient devenus des « systèmes » et des organisations humaines et pas des instruments dans les mains de Dieu et du Saint-Esprit? Voici quelques extraits du livre « Une autre vague déferle » (paru a l’origine sous le titre « Que s ‘est-il vraiment passé à Azusa Street ? ») qui font des débuts de la Pentecôte un récit quelque peu différent de la version « officielle ».

LA VERITE DOIT ETRE DITE

La vérité doit être dite, Azusa commença à s’éloigner du Seigneur très tôt dans son histoire. Dieu m’a un jour montré qu’ ils allaient commencer à s’organiser, quoique personne ne m’en ait jamais parlé. C’est l’Esprit qui me l’avait révèle. Il m’a poussé à les avertir de ne pas agir dans un esprit de parti . Ils devaient demeurer comme ils avaient été appelés : être libres comme son Esprit était libre, sans devenir à nouveau liés par un joug de chaînes ecclésiastiques. L’église avait déjà arrêté de progresser pour la même raison. Dieu désirait une équipe du réveil, un canal au travers duquel il pourrait évangéliser le monde et bénir tous les gens ainsi que les croyants. Il ne pouvait pas atteindre ce but avec un groupe sectaire. Cet esprit à causé tôt ou tard le malheur et la mort de chaque groupe touché par le réveil. L’histoire se répète toujours dans ce domaine.

LA PLACE DU « PETIT DIEU »

Un après-midi, je débutais la rencontre à Los Angeles pendant qu’ils attendaient l’arrivée de Smale. Je les exhortai à ne pas s’attendre aux hommes, mais à s’attendre a Dieu. Ils s’attendaient aux hommes; le même esprit d’idolâtrie qui fut une malédiction sur l’Eglise pendant tous les siècles et qui empêchait Dieu d’agir. Comme les enfants d’Israël, les gens désirent avoir un roi. Dans les églises d’état en Europe, le pasteur prend souvent la place du prédicateur . Ce soir la, alors qu’ils attendaient que le concierge arrive avec les clés, je débutai la réunion sur les marches de l’église. Nous avons eu un temps de prière au bénéfice du voisinage. La rencontre du soir se déroula dans un souffle constant de victoire.

ISRAEL, LE MODELE TYPE

Combien nous nous sommes égares du modèle premier et même du modèle-type de l’église : Israël. Nous en sommes si différents qu’il est difficile maintenant de reconnaître le modèle authentique. Même l’Eglise romaine, dans tout son formalisme, nous surpasse en cela. Notre difficulté, notre honte et nos problèmes de division nous semblent sans espoir. Je suis allé prêcher à Lamanda Park et je passai la nuit dans le presbytère, priant et dormant alternativement. Je voulais avoir une plus grande révélation de Jésus dans mon âme. De la même manière que la pleine lune remplit de plus en plus notre vision alors qu’on la contemple sans relâche, Jésus devient plus réel à nos âmes lorsque nous continuons de le contempler. Nous avons besoin d’une communion plus proche, plus personnelle, d’une relation vitale, habituelle, avec Dieu. (Seuls ceux qui vivent une amitié réelle avec Dieu peuvent être utilises par Dieu pour lancer un appel a son peuple). Je suis allée à l’église de Smale plusieurs fois, pour les retrouver à nouveau apathiques, attendant l’arrivée du prédicateur. Plusieurs ne semblaient avoir aucune idée du pourquoi ils étaient venus à la réunion. Je commençai alors à prier à voix forte et la réunion débuta avec puissance. Nous étions remplis de l’Esprit lorsque le frère Smale arriva. Dieu désirait que les gens regardent à Lui et non pas aux hommes. Ceux qui n’ont pas comme priorité la gloire de Dieu, manifesteront du ressentiment à cet égard. Mais c’est le plan de Dieu. J’ai découvert que la majorité des chrétiens ne veulent pas porter un fardeau de prière. C’est si difficile pour la chair.

LE SAINT-ESPRIT DIRIGE : L’EGLISE S’AUTO-DIRIGE

Déjà nous constatons que les réunions commencent à s’auto – diriger. Des âmes sont sauvées partout dans la salle alors que la réunion se déroule sans aucune direction humaine. La marée monte rapidement et nous nous attendons à des choses merveilleuses. Le ‘travail’ de l’âme devient un phénomène de plus en plus important et nous nous retrouvons emportés au-delà de toutes barrières sectaires. La crainte de Dieu est sur les gens comme un feu brûlant.

CONFESSER LES PECHES DU PEUPLE A SA PLACE

Le Seigneur m’inspira un autre traité que j’intitulai . « Confesser les péchés du peuple à sa place » Je l’ai apporte à l’imprimerie par la foi et Dieu envoya les finances à temps. C’était une forte exhortation à la prière. Tout comme les anciens prophètes, nous devons prier pour ceux qui ne prieront pas pour eux-mêmes. Nous devons confesser les péchés du peuple à sa place. A peu près à cette époque, alors que le frère Boehmer et moi-même étions en prière, le Saint-Esprit était répandu de façon merveilleuse sur plusieurs des réunions pour lesquelles nous avions prié. Nous ressentions que nous avions touché Dieu en leur faveur. Les témoignages appuyaient nos convictions. La prière change les choses. Il y a une merveilleuse puissance lorsque nous prions de la bonne manière. Regardez Elie sur le Mont Carmel : un homme de la même nature que nous . (Jacques 5:16). II peut aussi être nécessaire de faire des confessions dans ce sens. Un autre écrivait : Plusieurs personnes s’écroulaient comme agonisantes à cause de l’intensité de conviction de péché qui était tombée, remplissant le lieu en lamentations et en bruits de pleurs. Certains exprimaient les souffrances des contractions d’une femme qui accouche. Des hommes robustes pleuraient comme des enfants et s ‘effondraient en se tordant, les joues remplies de larmes. Mais à travers une prière à Dieu certains criaient amèrement et brisaient l’action qui se faisait à travers Evan. « Ne chantez pas!’ s’exclamait-il, C’est trop terrible pour que nous chantions! ». (Il est arrivé parfois que la conviction quitte les gens s’il y avait trop de chants.) Ils firent diversion au moyen des sélections de cantiques et du choix des chants. C’était comme tuer l’Esprit et cela fut très douloureux pour certains d’entre-nous; mais la marée était trop forte contre nous. Les livres de chants d’aujourd’hui sont surtout commerciaux et cela ne serait pas une grosse perte si nous étions prives de la plupart d’entre eux. Même les anciens chants sont souvent violés par les changements qu’on y apporte et de nouveaux styles musicaux doivent sortir a chaque saison pour qu’il y ait un nouveau profit. Il n’y a pas vraiment en eux un esprit d’adoration. Ils font bouger les orteils des gens, mais non leur cœur. L’esprit de chant donné par Dieu au début était semblable a une harpe éolienne, douce et spontanée. C’était en fait le souffle même de Dieu, jouant sur les cordes des cœurs humains ou sur les cordes vocales. Les notes étaient merveilleuses par leur douceur, leur volume et leur durée. La plupart du temps elles étaient humainement impossible. C’était vraiment divin. Le frère Seymour était reconnu comme le responsable officiel. Mais il n’y avait pas de pape ou de hiérarchie . Nous étions tous frères. Nous n’avions pas de programmes humains, le Seigneur lui-même dirigeait. Nous n’avions pas de classe de prêtrise, ni de prêtres de métier. Ces choses sont arrivées plus tard avec l’apostasie du mouvement. Au début, nous n’avions même pas d’estrade, ni de pupitre. Tous étaient au même niveau. Les ministres étaient serviteurs dans le plein sens du mot. Nous ne voulions pas honorer les gens à cause de leurs avantages, leur éducation ou leurs richesses, mais plutôt à cause de ce que Dieu leur avait donné. Il a placé les membres dans le corps. Mais maintenant, des choses horribles se commettent au milieu d’eux, les prophéties sont fausses, les pasteurs écrasent l’assemblée et les chrétiens aiment être dominés. Jérémie 5/30-31.

SPONTANEITE DES REUNIONS

Le foin était engrangé pour les agneaux, non pour les girafes. Tous y avaient accès. Nous étions ainsi délivrés de cette manière des abus et de la hiérarchie ecclésiastique. Nous ne voulions que Dieu seulement. Lorsque nous arrivions à la réunion, nous évitions le plus possible les contacts humains et les salutations. Nous désirions rencontrer Dieu en premier. Nous courbions nos têtes sous l’un des bancs dans un coin et rencontrions les gens seulement dans l’Esprit. Nous ne connaissions plus personne selon la chair. Les réunions commençaient d’elles-mêmes spontanément par des témoignages, des actions de grâces, de l’adoration. Les témoignages n’étaient pas interrompus par des requêtes . Nous n’avions aucun programme qu’il ne faille bousculer par manque de temps. Notre temps appartenait au Seigneur. C’était des témoignages réels et provenant d’une expérience fraîche du cœur. D’une autre part les témoignages les plus courts étaient les plus forts. Une douzaine de gens pouvaient se lever en même temps, tremblant sous l’action de la puissance de Dieu. Il n’était pas nécessaire que les responsables donnent de directives et cependant il n’y avait pas d’anarchie. Nous étions en vase-clos en prière avec Dieu pendant les réunions, nos pensées étaient tournées vers lui. Tous obéissaient à Dieu avec douceur et humilité. Nous préférions honorer les autres que nous-mêmes. Le Seigneur était libre d’intervenir en tout temps. Nous priions sans cesse pour cela. Puis quelqu’un se levait finalement, oint pour apporter un message.

LES PREDICATEURS : S’ELEVER, NE PAS MOURIR A SOI-MEME ?

Certains hommes présomptueux venaient de temps à autre; spécialement des prédicateurs qui désiraient s’élever eux-mêmes. Mais leurs efforts ne duraient que peu de temps. Ils perdaient leur souffle, leurs pensées divaguaient et leur intelligence s’étiolait. Tout s’embrouillait devant eux et ils ne pouvaient plus continuer. Je n’en ai pas vu un seul s’en tirer en ces jours-la. Ils luttaient contre Dieu. Personne ne les empêchait, nous ne faisions que prier et le Saint-Esprit faisait le reste. Nous voulions que ce soit l’Esprit qui contrôle. Il les brisait en peu de temps. Et ils étaient emportés comme des cadavres, d’un point de vue spirituel. Nous avons vu des choses merveilleuses en ces jours-la. Même de très braves personnes en venaient à se prendre elles aussi en horreur devant la lumière plus puissante de Dieu. Les prédicateurs étaient ceux qui avaient le plus de difficulté à mourir à eux-mêmes. Il y avait tellement de choses en eux qui devaient mourir, tellement de gloires par les bonnes oeuvres.

PAS D’ESPRIT DE PARTI, PAS D’ORGANISATION HUMAINE

Le jour suivant, après leur avoir fait part de cet avertissement pendant la réunion, ils placèrent un écriteau à l’extérieur du bâtiment qui disait : Apostolic Faith Mission (Mission de la Foi Apostolique). Le Seigneur me dit : Ils l’ont fait sans unité. Il ne peut pas y avoir de division dans une vraie Pentecôte. Vouloir former un corps « séparé » n’est autre chose qu’annoncer notre faillite en tant que peuple de Dieu. Cela prouve au monde que nous sommes incapables de nous accorder ensemble, au lieu de les amener à croire en notre salut. (Jean 17:21)..L’Eglise est un organisme et non pas une organisation humaine. Ils tentèrent plus tard de joindre à cette organisation toute l’œuvre de la côte du Pacifique, mais ils échouèrent misérablement. L’œuvre s’était répandue jusqu’a Portland et Seattle. Le peuple de Dieu doit demeurer libre de toute hiérarchie. Il a été racheté au prix du sacrifice de Jésus et il ne s’appartient plus a lui-même.

PAS DE PROGRAMME

Nous avons toujours reconnu Azusa comme étant la maison mère et il n’y eut jamais de friction ou de jalousie entre nous. Nous nous rendions visite de part et d’autre. Le frère Seymour venait souvent se réunir avec nous. J’écrivis ce qui suit dans le : Il n’y avait aucun programme et nous n’avons pratiquement jamais eu la possibilité de faire les annonces nécessaires. Personne ne fit la tentative de vouloir prêcher..

UNE PENTECOTE SANS CHRIST

Nous ne pouvons tenir une doctrine ou chercher une expérience, si ce n’est en dehors de Christ. Plusieurs désirent chercher la puissance pour faire des miracles, veulent attirer l’attention ou l’adoration des gens sur eux-mêmes. C’est ainsi qu’ils dérobent à Christ Sa gloire, et mettent l’homme charnel en évidence. Ce dont les vrais disciples ont le plus besoin, c’est du Jésus doux et humble de cœur. » L’enthousiasme religieux monte facilement en graine, L’esprit humain veut prévaloir sur le spirituel, mais nous devons nous en tenir à notre texte: Christ. Toute oeuvre qui exalte le Saint-Esprit ou les charismes plus que Jésus aboutira finalement au fanatisme. Tout ce qui nous pousse à exalter et à aimer Jésus est bon et sain. Le contraire ruinera tout. Le Saint-Esprit est une grande lumière, mais qui est toujours dirigée sur Jésus, afin de Le révéler. Quand le Saint-Esprit contrôle la situation, Jésus est proclamé comme la tête, et le Saint-Esprit Son exécutif.

DIEU DOIT CONTROLER, PEU IMPORTE LE COUT

Nous étions dans l’obligation d’agir fermement avec les cas extrêmes. La plupart du temps, l’Esprit passait outre et enlevait hors du chemin les irrégularités sans autre publicité. Plusieurs ont déclaré que nous ne pourrions aujourd’hui tenir nos réunions publiques. Mais si cela est vrai, alors il nous faudrait aussi faire taire Dieu. Ce dont nous avons besoin c’est que Dieu contrôle la liberté d’intervention, et cela peu importe le coût. Les saints eux-mêmes sont beaucoup trop confus et rebelles. A travers la prière et l’humilité, Dieu prend le contrôle de la réunion. C’était là le secret au début. Nous étions ensemble dans la prière, l’amour et l’unité et aucune puissance n’aurait pu briser cela.

Frank Bartleman



VETERAN'S DAY

Thank God for our country, and thanks a vet for our freedom! John Adams said "we must pray, but we must act also"
Blessings,
Steve and Kathy
For more info on R.L.C., or to listen to and download Pastor's Life Skills radio program, visit our website at http://rlc.worthyofpraise.org/



VETERAN'S DAY IS NEXT THURSDAY-NOV 11--GET OUT YOUR FLAGS, PUT THEM ON YOUR CARS AND HOMES, AND PUT ON YOUR FLAG PIN. HUG A SAILOR, MARINE, COASTGUARDSMAN, GI, AND A PILOT AND THANK AND PRAY FOR OUR ARMED FORCES.

lundi 8 novembre 2010

Iran : pasteurs pentecôtistes condamnés à la peine de mort !

Iran : pasteurs pentecôtistes condamnés à la peine de mort !

Youcef Nadarkhani et Behrouz Sadegh-Khandjani, deux pasteurs pentecôtistes affiliés à l'United Pentecostal Church, sont actuellement détenus et viennent d'être condamnés à la peine de mort pour "Apostasie", par les autorités iraniennes.

Selon la déclaration de la justice iranienne, Youcef Nadarkhani aurait "protesté contre la volonté du gouvernement d'imposer une éducation islamique aux enfants chrétiens", et Behrouz Sadegh-Khandjani, Président du Conseil national de l'Église d'Iran est accusé de mener des activités "au service du sionisme"...

Une pétition a été lancée sur Internet le 27 octobre et recense déjà près de 4000 signataires. Pour signer la pétition : Cliquez-ici !

Paul OHLOTT