jeudi 20 mai 2010

the scheduled programme for your stay in Cameroon:

the scheduled programme for your stay in Cameroon:

Dearest Apostle Hans,

Warmest greetings in Jesus’ name!

Here is the scheduled programme for your stay in Cameroon:

Wednesday, May 26:

· Arrival in Douala

· 6:00 p.m.: Healing and Deliverance Service at Assemblée Sion

Thursday, May 27: Healing and Deliverance Service at Ministère de la Réconciliation

Friday, May 28: Healing and Deliverance Service at Ministère de la Réconciliation

Saturday, May 29: Departure to Yaoundé

Saturday, May 29 – Tuesday, June 1: Mission in Yaoundé

Tuesday, June 1: Back to Douala

Wednesday, June 2 – Friday, June 4:

· Mornings: Training for Chaplains (to be confirmed by Pastor Gilbert)

· Evenings (6:00 – 8:00): Healing and Deliverance Service at Cornerstone Living Church

Sunday, June 6: Sunday Service with wedding at Cornerstone Living Church, jointly with Bishop Godwin Nnaji from Nigeria

Monday, June 7: Back to South Africa.

God bless you abundantly!



Bishop Floribert M. Mawit, D. Min,
Regional Coordinator,

World Ministry Fellowship Africa.

mardi 11 mai 2010

La Journée Nationale de Prière a-t-elle été supprimée ?


La Journée Nationale de Prière a-t-elle été supprimée ?

Par le biais d’un FlashInfo, le TopInfo a répercuté récemment une information du groupe Alliance Presse (cliquez-ici), affirmant que Barack Obama «avait renoncé au jeudi 6 mai comme Journée Nationale de prière». En réalité, cette information est erronée. Des rumeurs ont envahi le web depuis le mois dernier lorsqu’une polémique a enflammé les passions outre-Atlantique. En effet, au mois d’avril, la juge Barbara Crabb a affirmé que cet événement mis en place par le Congrès et marqué par une traditionnelle proclamation de la part du Président, est ni plus ni moins «inconstitutionnel».

Selon Barbara Crabb, dont les propos ont été relayés par Associated Press (AP) : «cet événement va au-delà de la simple reconnaissance de la religion, car son seul but est d'encourager tous les citoyens à s'engager dans la prière, un exercice de nature religieuse qui n'a aucune fonction séculaire dans ce contexte». Pour la juge, soutenue par des militants athées et agnostiques, il apparaît clairement que cet événement viole le Premier amendement. Quoi qu’il en soit, à l’heure actuelle, cette journée n’a pas encore été frappée officiellement du sceau de l’inconstitutionnalité et n'a donc pas été supprimée cette année, en dépît des polémiques et des rumeurs en tous genres.

Concernant le Président Barack Obama, il est toutefois intéressant de noter qu’il s’est largement démarqué de ses prédécesseurs et notamment de George w Bush, en ne souhaitant pas assister personnellement à des cérémonies chrétiennes ce jeudi 6 mai. Selon la Maison Blanche, le Président des Etats-Unis se serait contenté de «prier chez lui». En outre, un sondage proposé par le site CBS News questionne de la sorte ses visiteurs : «Pensez-vous que le gouvernement devrait reconnaître la Journée nationale de la prière ?». Ce dimanche soir, ils sont seulement 10% à répondre «Oui», tandis que 90% répondent qu’un tel événement «viole la séparation de l’Eglise et de l’Etat».

La fausse rumeur d’aujourd’hui pourrait donc bien devenir la réalité de demain. D’ailleurs, après avoir dénoncé la rumeur, Associated Press se demande également si 2010 ne sera pas la dernière édition de cette Journée.

Affaire à suivre.

Paul OHLOTT

Ce que les chrétiens doivent à leurs frères aînés

Ce que les chrétiens doivent à leurs frères aînés


Après vingt siècles de christianisme, et de longues périodes d’antisémitisme, la plupart des chrétiens ont quasiment perdu de vue l’origine hébraïque de leur foi. Les développements culturels de la foi issue d’Israël en terre païenne, les conséquences de l’antijudaïsme séculaire, tout a joué dans le sens d’une amnésie spirituelle tragique.

Pourtant, que cela plaise ou non, ce qui structure notre identité et notre pratique chrétiennes est issu du judaïsme : "chrétien" vient de "christ", mot grec pour l’original biblique "messie", (mashiah) terme qui n’aurait aucun sens en dehors de l’histoire d’Israël.

Nos Ecritures saintes elles-mêmes intègrent telle quelle la Bible hébraïque, à laquelle s’ajoutent les écrits du Nouveau Testament, élaborés avec le même matériau en tant que midrash conclusif de l’étape précédente.

Durant le premier siècle, la communauté des disciples de Jésus le Nazaréen était encore massivement juive ; ce n’est qu’au cours du deuxième siècle que les païens arrivant en force dans l’Eglise changent, non sans une certaine brutalité, le profil initial de leur communauté de foi au Dieu d’Israël. Le terme même d’Eglise, "ecclesia", est une reprise grecque du mot biblique "qehal", l’assemblée des fidèles convoquée par Dieu. (Dans l’épître de Jacques, on trouve d’ailleurs le terme grec "synagogue" pour désigner le rassemblement des chrétiens.) Le mot "paroisse" lui-même, qui vient du grec "paroikia", était déjà utilisé pour désigner les regroupements de Juifs en diaspora, c’est à dire en Perse, en Egypte ou à Rome !

Vers la moitié du premier siècle, Paul le Pharisien devenu familier du Christ ressuscité, écrit à la jeune communauté des Romains : "ce n’est pas toi qui portes la racine, c’est la racine qui te porte !" (Rom 11.18). Quelques décennies plus tard, l’évangile de Jean résumera la démarche en un raccourci saisissant : "le salut vient des Juifs !" (Jn 4.22).

C’est un fait que les premiers disciples et apôtres, tous juifs, comme Jésus, ont poursuivi naturellement leur pratique spécifique : prière, offrande, liturgie, interprétation de l’Ecriture, recherche d’une éthique en prise avec la vie ; c’est bien en tant que croyants juifs qu’ils se sont ouverts à l’universel, et que pour cette raison, quelques décennies après l’expérience de la résurrection, ils ont reçu à Antioche, avec d’autres sympathisants du monothéisme juif, l’appellation de christianoï, c’est à dire messianistes. Après s’être désignés eux-mêmes comme les « viatores », disciples de la Voie, ils ont été progressivement reconnus comme ceux qui croient à "l’avènement des derniers temps". Au tout début du 2ème siècle, au moment même de la rédaction ultime de l’évangile johannique, Ignace d’Antioche affirme : « Là où est le Messie, là est l’Eglise catholique ! »

Le rite du miqvè est pratiqué chez les Juifs comme chez les Chrétiens du 1er siècle, c’est une ablution d’eau accompagnant la circoncision, deux signes d’appartenance au peuple de Dieu. (On appelle alors "baptême des prosélytes" une purification spéciale pour les païens sympathisants du judaïsme mais non circoncis, désirant marquer leur attachement à cette foi).

Peu à peu, seul le baptême subsistera chez les Chrétiens, afin d’assouplir les conditions d’entrée des non-juifs dans la communauté. Après la destruction du Temple de Jérusalem en 70, Juifs et Chrétiens, qui auparavant y priaient ensemble, vont se réunir dans des lieux de prière de remplacement, conscients d’être les uns et les autres la "demeure vivante" de Dieu qui n’abandonne pas les siens. En ce temps de crise, c’est leurs personnes qui deviennent de ce fait le nouveau mishkan, sanctuaire communautaire et itinérant de la Présence divine, la Shekhina.

Pour les Juifs chrétiens, la tefilla, la prière communautaire, se fait toda, action de grâces. C’est le repas eucharistique institué par Jésus dans l’esprit même de la Pâque juive comme actualisation de cet événement salvateur. Pour les Juifs rabbiniques, ce sera le rassemblement à la synagogue autour de la Torah. (A signaler que les catholiques ont gardé le pain azyme du seder pascal accompagnant la coupe de bénédiction, par fidélité au mémorial juif de la libération d’Egypte, le zikkaron.)

Aux deuxième et troisième siècles, lorsque le nombre des Chrétiens s’est développé, on s’est inspiré des synagogues (exemple, l’église de Doura Europos, Syrie) pour construire des basiliques, afin de donner de l’espace aux liturgies ; mais avec comme archétype le Temple de Jérusalem, car l’autel évoque les rites anciens récapitulés dans le sacrifice du Christ. Cette disposition enracine à jamais toute célébration chrétienne dans l’histoire sainte du peuple d’Israël.

L’articulation même de la liturgie chrétienne, (proclamation de la Parole de Dieu, action de grâces, communion) reprend le rythme du cérémonial juif. Le calendrier des fêtes chrétiennes s’inspire des grandes fêtes juives, comme Pâques et Pentecôte. A chaque célébration eucharistique, il y a un seuil pénitentiel, un petit yom kippour. Les prières communautaires de l’Eglise se basent quotidiennement sur la récitation des psaumes, souvent chantés (piyoutîm) selon les traditions synagogales, ce qui va donner naissance au chant grégorien, de tonalité orientale.

Les lampes à huile des sanctuaires rappellent les chandeliers et le décor du Temple de Jérusalem, cette lumière diffuse de la menorah, telle celle de Dieu éclairant les journées hebdomadaires de nos existences ; les processions avec l’encens remémorent les liturgies auxquelles Jésus a participé lors de pèlerinages, et où une fumée d’agréable odeur évoque le mystère caché de la présence transcendante du Dieu vivant, comme aux temps de la nuée de l’exode.

On a souvent insisté sur le fait que Jésus n’était pas prêtre ; ce qui n’est pas tout à fait exact. C’est vrai au sens où il n’était pas lévite, officiant permanent du Temple pour assurer les cérémonies de sacrifices d’expiation. Mais c’est faux, si l’on considère que, suite à l’évolution antérieure du judaïsme post-exilique, tout Juif pratiquant avait clairement conscience d’être membre d’une « nation de prêtres », et donc d’offrir à Dieu un sacrifice spirituel par son engagement religieux et éthique au quotidien.

Pour rendre témoignage au Dieu d’amour de sa Tradition, Jésus est allé jusqu’au sacrifice de sa vie, dans le registre du Serviteur souffrant d’Isaïe, ce que l’auteur de l’épître aux Hébreux considère comme sa manière d’être le grand-prêtre devant Dieu, celui qui ouvre aux fidèles le véritable sanctuaire du salut, celui par qui le sang versé efface définitivement l’empreinte du mal qui aliénait les consciences humaines.

Les ornements de la liturgie chrétienne, comme la chasuble et l’étole du célébrant qui représente toute l’assemblée unie face à Dieu, sont directement inspirés du châle de prière juif, le tallit. Les différentes formes de kiddoush, bénédiction traditionnelle, ont également trouvé leur place dans nos célébrations, sans oublier les onctions d’huile parfumée signes de l’effusion d’Esprit, (lors de la semikha d’envoi en mission d’un ministre ordonné, d’un engagement envers la communauté, d’une prière de guérison et de sérénité pour un malade, etc).

Même le signe de croix sur le front, chose étonnante, vient du judaïsme, tout simplement parce que la lettre hébraïque tav, (voir Ez. 9.4) était communément tracée sur le front de juifs pieux en signe d’attachement à la Torah ; et la forme ancienne du tav était X ou +. Peut-être est-ce ce que Jésus a voulu dire, si c’est bien avant sa crucifixion qu’il a affirmé à ses disciples : "que celui qui veut être mon disciple porte sa croix…"(Mc 8.34) = c’est à dire "porte son tav, en forme de X", et donc : porte le "joug" de la Torah ?…Jean le présente comme l’aleph et le tav, le commencement et la fin.

Celui qui est venu accomplir et non pas abolir l’enseignement de Moïse et des prophètes nous invite urgemment à retrouver la sève hébraïque de notre foi chrétienne. Ce qui n’est pas une option secondaire, si nous voulons prendre au sérieux l’humanité de Jésus, son enracinement, pour être ses disciples attentifs. Etre fidèles au rabbi Yeshua "vivant par delà sa mort", signe messianique pour tous les hommes de bonne volonté, c’est inévitablement prendre en compte l’incarnation de la Sagesse des pères et de la voix des prophètes manifestée en lui. Sinon, impossible de considérer qu’en Jésus la logique de l’alliance, par laquelle Dieu rencontre l’humain, est parvenue à son accomplissement.

C’est aussi se donner les moyens de mieux comprendre et de mieux respecter la spiritualité et la piété de nos frères juifs. Le pape Jean-Paul II l’avait formulé de manière provocatrice : « qui rencontre Jésus Christ rencontre le judaïsme ! »

source:journal chretien

dimanche 9 mai 2010

LE SOURIRE



Noël .....sourire ???

SOURCE:DINELOU

LE PREJUDICE CAUSE PAR LA PORNOGRAPHIE




On a longtemps lié l'installation de la dépendance, chez le toxicomane, à ce qu'il est convenu d'appeler le système de récompense. Il est désormais établi que tous les produits qui déclenchent la dépendance chez l'homme augmentent la libération d'un neuromédiateur, la dopamine, dans une zone précise du cerveau.
Source:http://users.skynet.be/toxicomanie/dopamine.htm


LE dr. Judith Reisman, auteure de l’ouvrage « The Psychopharmacology of Pictorial Pornography » qualifie la pornographie visuelle d’érotoxine.:
« Regarder des films "X" déclenche une poussée d’adrénaline qui est ressentie dans le ventre et dans les organes génitaux, ainsi qu’une sécrétion de testostérone, d’ocytocine, de dopamine et de sérotonine, indique-t-elle. “C’est un véritable cocktail de drogues. La pornographie est un excitant extrêmement puissant, qui provoque flash et euphorie... »


Dr. Judith Reisman

Selon le Dr. Reisman, le 1er amendement de la Constitution américaine, qui garantit la liberté d’expression, ne devrait pas couvrir les images et les films pornographiques, car ceux-ci n’affectent pas le centre de la parole, mais« une zone cérébrale viscérale, non langagière, située dans l’hémisphère droit » du cerveau. La pornographie conduit au viol, aux meurtres en série, aux mauvais traitements infligés aux enfants et à l’impuissance, estime-t-elle.« Chaque fois qu’un homme regarde des images pornographiques, il éprouve de la honte, de la culpabilité et de la colère. Et il compromet sa capacité à réagir de façon normale...» Source


Propension génétique du cerveau de l’homme à l’attraction de la nudité de la femme.

Ici on n'apprend rien. Résumons simplement ce que tout le monde sait déjà: La structure du cerveau humain prédispose virtuellement à un certain degré tous les hommes et garçons à être naturellement attirés par la pornographie/ et ou sa dépendance. Jusqu’à un certain point, les femmes sont aussi à risque.

Le corps humain a été créé de façon à favoriser l'accouplement et, partant, la survie de l'espèce. Les consommateurs de pornographie, les violeurs et les clients des prostituées sont en grande majorité des hommes, selon la Direction de la Protection de la Jeunesse.

Scientifiquement, le désir est la conséquence de l'imprégnation du cerveau par une hormone nommée testostérone.
Chez l’homme, la baisse du niveau de testostérone entraîne une diminution des activités sexuelles: La castration chez l'homme entraine une diminution immédiate ou graduelle de l'activité sexuelle. Il est maintenant prouvé scientifiquement que visionner de la pornographie augmente le niveau de testostérone.

Comportement sexuel, hormones et cerveau
Contrôlé par l’intéraction du système endocrinien et du système nerveux autonome
Le comportement sexuel dépend du niveau de testostérone
– La castration entraîne la diminution de l’activité sexuelle
– L'injection de testostérone entraîne l’augmentation de l’activité sexuelle

Hellhammer et al. (1985) Psychoneuroendocrinologue
D. H. Hellhammer, Center for Psychobiological and Psychosomatic Research

  • Visionner du matériels érotique ou pornographique augmente le niveau de testostérone

  • L'anticipation sexuelle augmente le niveau de testostérone.



Statistiques 2009: L'adolescent américain passe en moyenne 14.3 minutes par jour à regarder de la pornographie. (87 hres par année)

La sexualité chez l'adolescent
Lors du passage de l'enfance à l'âge adulte, l'adolescence entraîne bien souvent une grande confusion. Entre rébellion et épanouissement de la personnalité, garçons et filles doivent faire face aux bouleversements hormonaux, physiques et psychiques de la puberté. C'est aussi la période des premières expériences amoureuses, des premières relations sexuelles, des premières contraceptions…L'Internet vient s'intégrer dans le processus de développement en permettant un accès illimité et pratiquement gratuit à des millions de sites pornographiques, au cybersexe via webcams, bref, à tous les fantasmes et expériences sexuelles inimaginables.

Ados, pornographie et autosatisfaction sexuelle
Si vous croyez que la pornographie sur Internet est un outil pédagogique pour l'éducation sexuelle des ados, détrompez-vous ! Vous apprendrez plus loin que la consommation de matériel pornographique produit des effets pervers au niveau du cerveau, et c'est prouvé scientifiquement. Vous allez aussi comprendre comment le visionnement de matériel pornographique jumelé à l'autosatisfaction sexuelle entraine chez les jeunes, parfois seulement après quelques consommations, une dépendance à la porno et un renforcement des comportements sexuels, avec des conséquences destructrices à moyen et long terme, au niveau de la personnalité de l'individu. Lorsque l'éducation sexuelle d'un ado passe par le visionnement de matériel porno, les risques d'un dérapage de la personnalité au niveau des valeurs morales et sociales sont extrêmement élevés.

Le système de récompense du cerveau humain chez les humains
Le système de récompense est un système fonctionnel cérébral localisé dans le cerveau moyen (mésencéphale). Ce système est nécessaire à la survie car il fournit la motivation nécessaire à la réalisation d'actions ou de comportements bénéfiques visant à préserver l'espèce ou l'individu (recherche de nourriture, reproduction, évitement de dangers,...).

On sait très bien que le tabac, l'alcool, la cocaïne, l'héroïne et bien d'autres drogues dont la prise répétée est susceptible d'engendrer, chez l'humain, une dépendance (une servitude) ont en commun la faculté d'augmenter les quantités de dopamine dans une zone du cerveau qualifiée de "circuit récompense". La dopamine est un neuromédiateur, c'est-à-dire d'un médiateur chimique qui assure le passage de l'influx nerveux entre les neurones.

En fait, « notre cerveau, nos neurones, sont de véritables usines chimiques. Ils synthétisent des substances, les transportent, les utilisent comme moyen de transmission pour l’information, les dégradent, les recyclent, les captent, les évacuent. Notre cerveau est habitué aux drogues, il en est bourré, il en fabrique, il en sécrète. C'est dire que lui en apporter de l'extérieur risque toujours de perturber les fragiles équilibres qu'il parvient à maintenir entre toutes ces substances. Et les corps chimiques, au bout du compte, sont ce qui fait que l'environnement et ses influences est traité comme perception et enregistré comme souvenir ».

Chaque être humain, de fait, fabrique sa propre morphine interne, ou endorphine(contraction des termes "morphine" et "endogène"). Il s'agit en fait d'une trentaine de substances euphorisantes et anesthésiantes actuellement identifiées chez l'homme et l'animal. « Elles sont présentes dans le système nerveux (aussi bien au niveau de la moelle épinière que dans différents sites du cerveau, hypophyse, hypothalamus, etc.) ainsi que dans les organes (système digestif, reins, poumons, organes sexuels... ). Elles ressemblent à l'opium, ou copies de nos substances internes, et leur efficacité dépend de leur fidélité aux modèles. Les endorphines sont des neuromédiateurs (molécules signal, messagers chimiques) qui permettent à l'organisme de préserver son équilibre. Tout stress, toute situation exigeant de rester en alerte, entraîne une augmentation de notre sécrétion d'endorphines. Et cet apport procure un plaisir, réconforte, calme la douleur et l'angoisse... ».

Le stress, en effet, se traduit, lui aussi, par une activité neurochimique intense dans laquelle interviennent - entre autres - des neuromédiateurs comme l'adrénaline et la dopamine. On peut ainsi penser que l'individu "accro" au jeu, au travail ou aux activités dangereuses recherche des situations dans lesquelles son cerveau est inondé par ces drogues endogènes, calmantes et excitantes.

La découverte des endorphines s'est faite à partir d'études sur l'action de la morphine dans le cerveau. « Le raisonnement des chercheurs des années 70 était le suivant : puisque les neurones cérébraux captent la morphine (avec les effets analgésiques que l'on sait), le cerveau sécrète peut-être en lui même, pour son propre compte, des substances voisines ». C'est ainsi qu'en 1976 des neurochimistes isolèrent des substances qui furent d'abord baptisées "opioïdes" ("ressemblant à l'opium") car leur conformation moléculaire était similaire à celle des opiacés (morphine et héroïne) extraits du pavot d'Orient. La nicotine du tabac, ainsi que les calmants, stimulants, hallucinogènes, etc. (et même la nourriture, ou l'exercice physique) stimulent directement la production de dopamine (ou, ce qui revient au même : empêchent sa dégradation dans le cerveau).

En fait, cette molécule - sécrétée par un petit nombre de neurones (les neurones "dopaminergiques" ne représentent guère plus de 0,3% des cellules du cerveau) - intervient dès lors qu'il est question de désiret de plaisir.Pour de nombreux biologistes, elle est au coeur de ce qu'on appelle "les comportements de dépendance".
« Nous avons tous dans le cerveau des circuits neuronaux dopaminergiques, ou d'autres, qui renforcent les comportements qui nous procurent du plaisir. Le cerveau favorise donc naturellement les conduites qui nous amènent à modifier notre état de conscience, à rechercher l'euphorie.

En fait, toute expérience qui procure du plaisir - déguster un carré de chocolat, faire l'amour, apprécier un morceau de musique, gagner au jeu… - se traduit par une décharge de dopamine ». C'est pourquoi la dopamine est souvent appelée "messager du plaisir". « En procurant du plaisir, le système dopaminergique renforce les comportements favorables à la survie de l'espèce, tels que l'acte sexuel ou la prise de nourriture ».

La dopamine a un rôle plus complexe que celui de simple messager du plaisir: sa libération peut être déclenchée par la seule présence d'une récompense. Aussi, lorsque la consommation visuelle d'images érotiques ou pornographiques est jumelée à la masturbation, (l'orgasme sexuel étant lui-même un puissant générateur de dopamine) le consommateur se trouve piégé et développe une dépendance à la pornographie, qui est un trouble à caractère psychologique entraînant un besoin plus ou moins important d'assister à des scènes pornographiques (ou de réaliser l'acte sexuel) afin de calmer ses pulsions sexuelles en atteignant l'orgasme.

La pornographie joue-t-elle un rôle dans les dépendances sexuelles?
La pornographie associée à l'habitude de se masturber est souvent la pierre d'angle des dépendances sexuelles. Beaucoup de dépendants sexuels ont de grandes difficultés à se libérer de cette combinaison de comportements. La pornographie et ses fantasmes créent un monde irréel que les dépendants sexuels traversent pendant leur adolescence. Cela se développe ensuite et crée un objet relationnel qui conditionne leurs émotions et leur sexualité de telle sorte qu'ils éprouvent du plaisir ainsi des centaines de fois avant d'avoir une relation sexuelle avec une personne réelle.

Le circuit récompense chez les animaux:
Les chercheurs affirment que chez les animaux, leurs comportements dépendent tous d'un même circuit cérébral qui leur permet de reconnaître les récompenses essentielles à leur survie, comme la nourriture et l'activité sexuelle.

Les chercheurs ont découvert que le cerveau humain utilise ces mêmes circuits pour se réjouir d'une variété de récompenses moins fondamentales comme le succès à la bourse ou un jeu particulièrement spectaculaire comme le base-ball ou le hockey. Et à la grande surprise de bien des gens, ils ont aussi découvert que les systèmes cérébraux qui détectent et évaluent de telles « récompenses » fonctionnent généralement à la dopamine, au niveau subconscient, ce qui donne des pistes pour mieux comprendre les mécanismes de dépendance aux gains financiers, au jeu ou à la drogue ou à la pornographie.

Le système de la récompense agit par conditionnement en adjoignant une sensation de plaisir à ces comportements bénéfiques. Ce système est la cible de nombreuses substances chimiques responsables des phénomènes d'addiction (dépendance). Bien que de nombreux types de neurones soient impliqués, les neurones dopaminergiques (utilisant la dopamine comme neurotransmetteur) ainsi que les neurones produisant le neurotransmetteur sérotonine semblent y jouer un rôle important.

Action et fonctionnement du système de la récompense
Le système de la récompense agit de la manière suivante : Lorsqu'une action bénéfique est réalisée, un signal nerveux est transmis au cortex cérébral qui traite l'information afin de déterminer si oui ou non elle sera sujette à récompense. Si c'est le cas, des hormones spécifiques sont produites et transmises à l'aire tegmentale ventrale (ou ATV) qui se met à produire de la dopamine, neurotransmetteur responsable de la sensation de plaisir. La dopamine sera transmise à de nombreux centres cérébraux, dont le noyau accumbens, l'amygdale, le cortex préfrontal, l'hippocampe et le septum. Renforcement positif ou négatif

Lorsqu'une action est récompensée, le comportement à l'origine est renforcé. Le conditionnement des comportements bénéfiques se fait de deux manières : soit l'action est renforcée de manière positive, soit l'action est renforcée de manière négative. Un renforcement positif vise à la réitération d'un comportement bénéfique (nourriture, action de reproduction,...), tandis qu'un renforcement négatif vise à éliminer quelque chose de désagréable (évitement de dangers,).

Les deux circuits les plus étudiés qui travaillent au niveau subconscient sont ceux qui permettent aux animaux et aux humains d'évaluer les récompenses. Les deux mettent en cause un produit chimique appelé dopamine. Le premier circuit, situé dans la région centrale du cerveau, aide les animaux et les humains à évaluer instantanément les récompenses ou l'absence de récompense. Ce circuit a été décrit de manière détaillée il y a plusieurs années par le Dr Wolfram Schultz, spécialiste de la neuroscience à l'Université Cambridge, en Angleterre. Le Dr Schultz a découvert que les neurones de dopamine s'activaient avec force quand un singe recevait, par exemple, plus de jus de pomme (sa récompense) que prévu. Quand le singe recevait la dose de jus attendue en fonction des expériences passées, les neurones de dopamine restaient inactifs. Et quand le singe s'attendait au jus, mais n'en recevait pas, les neurones de dopamine diminuaient leur niveau d'activité, comme pour signaler une absence de récompense.
Les scientifiques croient que le système de dopamine du cerveau moyen fait constamment des prédictions en matière d'attente de récompense. L'apprentissage se produit quand un imprévu survient, et que l'activité des neurones de dopamine augmente ou diminue. Quand il n'y a pas d'imprévu, le système de dopamine reste calme. Chez les humains, les signaux de dopamine sont aussi transmis à une région supérieure du cerveau - le cortex frontal - pour un traitement complexe, explique le Dr Jonathan Cullen, neuroscientifique à l'Université Princeton, qui étudie le cortex cingulaire - cingulate - antérieur, situé à l'arrière du front. Cette partie du cerveau a plusieurs fonctions, dit-il, y compris la tâche de déceler les erreurs et les conflits dans la transmission et le traitement automatique de renseignements.
Des expériences d'imagerie cérébrale (IRM) commencent à démontrer qu'au moment où une personne reçoit une récompense inattendue, une quantité accrue de dopamine atteint le cortex cingulaire antérieur. Quand une personne espère une récompense et ne la reçoit pas, moins de dopamine atteint le cortex cingulaire antérieur. Et quand la récompense correspond à l'attente, le cingulaire antérieur reste inerte. The science behind pornography addictionLes deux régions les plus réactives sont l'hypothalamus et l'aire tegmentale ventrale (ATV) On peut comprendre le rôle crucial de l'hypothalamus dans les sensations de satisfaction lorsqu'on sait que ce centre nerveux est fortement impliptum, amygdale et noyau accumbens). Chez un chat habitué à son environnement, le même effet est obtenu par l'ouverture de la porte de l'animalerie, annonce de l'arrivée de la nourriture. Cette activation des neurones libérant la dopamine s'accompagne d'un changement dans le comportement de l'animal, qui initie un mouvement destiné, selon toute vraisemblance, à atteindre la récompense . Dans ce dernier cas, les neurones libérant la dopamine sont donc devets" des plaisirs, autour des neurones à dopamine. Pour la dépendance à la pornographie, une simple photo érotique peut déclencher le processus de libération de dopamine et initier un comportement compulsif vers le plaisir sexuel qui libérera encore plus de dopamine.
Des fluctuations dans les niveaux de dopamine incitent les humains à faire des gestes sans en être conscients. Les scientifiques ont découvert que pour augmenter le niveau d'activité des neurones de dopamine, les gens font toutes sortes de choses. Plusieurs études ont été publiées l'an dernier sur les liens entre les récompenses monétaires et la dopamine. L'argent est une abstraction, mais pour le cerveau, il agit comme la cocaïne, la nourriture, l'activité sexuelle et tout autre facteur de récompense, dit le Dr Hans Breiter, spécialiste de la neuroscience, à l'Université Harvard. L'humain en a grand besoin. Certaines personnes semblent avoir, dès la naissance, un système de dopamine vulnérable qui peut être détourné par les récompenses sociales. Par exemple, les circuits de dopamine sont activés par la cocaïne ; les gens en deviennent dépendants quand leurs systèmes de récompense sont détournés par la drogue, dit le Dr Montague. Gagner au jeu peut aussi provoquer un détournement du système de dopamine, dit le Dr Berns. Plusieurs personnes se rendent à un casino, perdent de l'argent et n'ont pas le goût d'y revenir. Mais les joueurs compulsifs semblent souffrrave;mes de dopamine vulnérables, dit-il. À leur premier gain, ils ressentent une bouffée énorme de dopamine qui s'encastre dans leur mémoire. Ils continuent à jouer et l'occasionnelle bouffée de dopamine neutralise leur conscience de perdre inévitablement de l'argent. La Bourse constitue un domaine prometteur pour l'étude des circuits de récompense et leur influence sur le comportement humain, dit le Dr Montague. Par exemple, l'an dernier, quand la Réserve fédérale américaine a diminué de manière inattendue les taux d'intérêt, à deux reprises, les marchés boursiers ont connu une hausse. Quand la Fed a diminué les taux d'intérêt à d'autres occasions et que les investisseurs s'y attendaient, le marché n'a pas réagi. Les économistes et les neuroscientifiques utilisent les mêmes équations mathématiques pour modéliser les comportements des marchés et le comportement de la dopamine, dit le Dr Montague. La neuroscience pourrait ainsi offrir un nouvel ensemble d'outils à ceux et celles qui cherchent à comprendre la prise de décision économique.

Selon la définition donnée en 1981 par l'Organisation mondiale de la santé, la dépendance est "un syndrome pour lequel la consommation d'un produit devient une exigence supérieure à celle d'autres comportements qui avaient auparavant une plus grande importance". La dépendance à la pornographie se traduit par la difficulté à être autonome, à trouver un équilibre en soi, à gérer ses besoins, ses manques, ses émotions, ses pulsions… Pour les sex addicts, c'est la sexualité qui devient aliénante, le besoin sexuel est irrépressible, irrésistible, tel une force intérieure impossible à maîtriser.

La dépendance à la pornographie serait due à un « conditionnement psychologique » allant en crescendo et a pour conséquence une dépendance envahissante sur tous les domaines de la vie. Une personne atteinte de dépendance à la pornographie chercherait d'abord à satisfaire un besoin sexuel obsédant par tous les moyens possibles, du moment qu'elle arrive à l'orgasme.

  • Au niveau psychologique: La dépendance à la pornographie s'inscrit dans le schéma du circuit de récompense qui est le circuit des dépendances aux drogues.

  • Au niveau médico-psychiatrique: La psychiatrie n'a pas reconnu officiellement la dépendance à la pornographie, et la considère comme un symptôme parmi tant d'autres dans certains troubles de la personnalité. Les tenants de l'existence de la dépendance à la pornographie (d'origine nord américaine) ont voulu l'inclure dans un domaine appelé « sex addiction ».

  • Au niveau juridique: Actuellement en Amérique du Nord, la loi reconnait la maladie au même titre que le trouble d'achats compulsifs. Cela concerne notamment des individus étant amenés à transgresser la loi afin de consulter des sites pédophiles.


Il est possible d'en énoncer les symptômes

  • Recherche permanente de nouvelles images pornographiques (films, photos, expériences cybersexe via conférence vidéo...) et de nouvelles sensations;

  • Sentiment de culpabilité vis-à-vis de ses pensées;

  • Préférence de la masturbation à l'acte sexuel et perte du plaisir avec son partenaire.

  • Diminution/dégradation des liens sociaux;

  • Diminution des liens affectifs avec le conjoint.


Cette dépendance peut provoquer une dénaturation des relations sexuelles, la personne atteinte cherchant à recréer, avec son ou sa partenaire, un schéma pornographique ou préfère le plus souvent cacher ce plaisir solitaire à son conjoint.

Pour les cas les plus critiques, cette dépendance peut entrainer une dégradation notable des relations sociales: séparation des proches, isolement. Elle nécessite dans ce cas des soins psychologiques sérieux. La dépendance à la pornographie a pris énormément d'ampleur depuis la généralisation d'Internet. En effet, les pages aux contenus pornographiques deviennent plus facilement et plus rapidement accessibles et cela gratuitement. Cela permettant de toucher de plus en plus de personnes, notamment les plus jeunes.

La dépendance à la pornographie est comparable à celle de l'alcool ou des drogues dures et peut nécessiter un sevrage. Les spécialistes s'entendent pour placer la dopamine au centre du mécanisme de la dépendance. Les substances telles que les drogues dures qui engendrent la dépendance provoquent toutes une libération artificielle de dopamine dans le cerveau.

Judith Reisman, auteure de The Psychopharmacology of Pictorial Pornography qualifie la pornographie visuelle d’érotoxine : “La pornographie agit sur le cerveau comme une drogue – c’est une drogue.” Regarder des films X déclenche une poussée d’adrénaline qui est ressentie dans le ventre et dans les organes génitaux, ainsi qu’une sécrétion de testostérone, d’ocytocine, de dopamine et de sérotonine, précise-t-elle. C’est un véritable cocktail de drogues. La pornographie est un excitant extrêmement puissant, qui provoque flash et euphorie. Ce n’est pas un excitant sexuel, mais un excitant mêlant peur, sexe, honte et colère.”


La dépendance sexuelle s'établit, d'après le docteur Reed, en suivant un cycle de quatre phases qui s'intensifient avec chaque répétition. Les accros du sexe seraient ainsi pris dans une véritable spirale addictive. Sources: Wikipedia

La dépendance à Internet et à la pornographie se développe sournoisement. Le premier stade est celui du risque, où Internet exerce une puissante fascination. L’on considère la fréquentation du clavardage (tchat) comme une activité souhaitable et satisfaisante. Ou alors, l’on cherche des sites pornographiques et diverses variantes de cybersexe. À ce niveau, l’on est encore plus ou moins maître de son comportement.

Puis, au stade critique, la compulsion augmente sensiblement. Les personnes concernées éprouvent de plus en plus de difficulté à quitter Internet, où elles passent beaucoup de temps et dépensent de l’argent.
Au stade chronique, elles se retrouvent dans une forte dépendance. Leur existence est déterminée par leur comportement compulsif. Elles vivent pour le temps passé sur Internet, cherchent de la pornographie pendant toute la nuit. Leur présence dans le tchat est presque permanente. Elles sentent que ces relations virtuelles prennent le pas sur la vie réelle. Le cybersexe sous toutes ses formes devient un moyen essentiel d’expression de leur vie sexuelle.

Les contenus en ligne à caractère sexuel exercent une forte fascination.

L’on passe du temps sur les sites Internet contenant du sexe ou dans les tchats, souvent plus qu’on ne le souhaiterait.

L’on essaie de contrôler cette consommation de cybersexe : les tentatives pour arrêter ou réduire le temps passé sur Internet échouent.

L’abstinence et la volonté d’arrêter entraînent nervosité et irritabilité. À l’inverse, le retour sur le Net apporte immédiatement apaisement et satisfaction.

Le cybersexe devient une solution pour éliminer les sentiments désagréables ou les problèmes. L’on se sent mieux, moins déprimé, les angoisses existentielles disparaissent.

L’on surfe jour et nuit pendant des heures à la recherche d’expériences sexuelles plus intenses ou plus risquées.

L’on dissimule cette activité à ses proches, à sa famille ou à un thérapeute. L’on se surprend à se dire des mensonges comme : « Je n’y vais pas si souvent », « Je n’aime pas ça, je veux simplement y jeter un coup d’œil ».

L’on dépasse les limites, par exemple en s’adressant de manière agressive à ses partenaires de tchat, en tentant de les harceler avec ses phantasmes sexuels, en exigeant du cybersexe avec une caméra. Ou alors, l’on n’hésite plus à chercher de la pornographie enfantine ou violente. L’on éprouve le besoin de stimulants toujours plus puissants, même s’ils sont interdits.

La relation de couple se brise, l’on se fait remarquer au travail par son intérêt pour le cybersexe, l’on reçoit un avertissement ou l’on perd même son emploi.

La vie se désagrège complètement en raison de la cyberdépendance qui provoque en outre de sérieux problèmes financiers.

Les femmes peuvent-elles aussi être dépendantes sexuelles?
Oui! Le nombre de femmes désirant se libérer d'une dépendance sexuelle ne cesse d'augmenter. Les comportements sont les mêmes que pour les hommes: masturbation, pornographie, activité sur Internet, rencontres et relations amoureuses anonymes. Une vingtaine de femmes guéries ont écrit ensemble le livre "She Has a Secret: Understanding Female Sexual Addiction" (Elle a un secret – Comprendre les dépendances sexuelles des femmes). C'est un livre excellent pour toutes les femmes concernées.

Sources:
http://www.stop-pornographie-enfantine.ch/3/fr/2prevention/230dependance_a_la_pornographie.php

http://femmesaujourdhui.com/relationships/addiction.html

Notre mort avec Christ


Notre mort avec Christ

Vous croyez à a mort du Seigneur Jésus, et vous croyez à la mort des deux brigands avec Lui. Alors, qu'en est-il de votre propre mort ? Votre crucifixion est plus intimenent liée à la sienne que la leur. Ils ont été crucifiés en même temps que le Seigneur, mais sur des croix différentes, tandis que vous avez été crucifié avec Lui, sur la même croix, car vous étiez en Lui lorsqu'Il est mort. Comment pouvez-vous le savoir ? Vous pouvez le savoir parce que Dieu l'a dit, et que c'est ne raison suffisante. Cela ne dépend point de vos sentiments. Si vous sentez que Christ est mort, Il est mort et si vous ne sentez pas qu'Il est mort, Il est mort. Si vous sentez que vous êtes mort, vous êtes mort ; et si vous ne sentez pas que vous soyez mort, vous êtes cependant, et tout aussi sûrement, mort. Ce sont des fait d'ordre divin. Que Christ soir mort, c'est un fait ; que les deux brigands soient morts, c'est un fait, et que vous soyez mort, c'est un fait aussi. Laissez-moi vous dire ;Vous êtes mort ! C'en est fait de vous-même ! Vous avez été mis de côté


Ce "moi" dont vous avez horreur est sur la croix en Christ. Et "
celui qui est mort est libéré du péché."(Romains 6.7).C'est cela l'Evangile pour les chrétiens. Nous n'arriverons jamais à réaliser notre crucifixion par notre volonté ni par nos efforts, mais seulement en acceptant ce que le
Seigneur Jésus a fait sur la croix. Il faut que nos yeux soient ouverts sur l'œuvre accomplie au Calvaire. Peut-être quelques-uns d'entre vous, avant votre conversion, avez-vous essayé d'arriver au salut par vous-mêmes. Vous lisiez la Bible, vous priiez, vous alliez à l'Église, vous faisiez des aumônes. Puis, un jour, vos yeux se sont ouverts, et vous avez vu qu'un salut parfait avait déjà été acquis pour vous sur la croix. Vous l'avez simplement accepté et vous avez remercié Dieu et la paix et la joie ont inondé votre cœur.? Or, le salut et la sanctification reposent exactement sur la même base. Vous recevez la délivrance du péché de la même manière que vous recevez le pardon des péchés.
Watchman NEE

QUELLE DEVRAIT ETRE L ACTION ACTUELLE DE L EGLISE ?




QUELLE DEVRAIT ETRE L ACTION ACTUELLE DE L EGLISE ?
En ce début de 21ème siècle, l’Eglise a-t-elle encore un but ?
Pouvez-vous y participer ?



Le « christianisme » traditionnel traverse une crise d’identité ! De nombreux individus, prétendument chrétiens, ne savent pas trop à quoi sert leur Eglise, et quel est son rôle dans leur vie. Certains se battent pour conserver les traditions confortables du passé. D’autres sont en quête d’une expérience « authentique ». Certains recherchent des guérisons et du bien-être. Mais, quel est le but de l’Eglise ?

Beaucoup de gens, déçus par les « religions organisées », cherchent des réponses un peu partout. Pour eux, la religion est largement dépassée, parce que leur Eglise n’a pas d’identité ou de rôle définis.Les chercheurs James Patterson et Peter Kim sont parvenus à la conclusion que les Américains « ne se tournent ni vers Dieu, ni vers leur confession, pour les aider à prendre des décisions au sujet de leurs problèmes personnels, ou moraux d’actualité » (The Day America Told The Truth,page 199. C’est nous qui traduisons tout au long de cet article).

Pourquoi les Eglises sont-elles dans cet état de confusion ? Quel est le but fondamental de l’Eglise ? Que devrait accomplir votre Eglise, aujourd’hui ?

Suivre Jésus-Christ

Lorsque Jésus était sur la terre, Il ne laissa aucune place au doute quant à ce que Son Eglise devait accomplir, et qu’elle voudrait accomplir. Il la fonda et dit qu’elle existerait toujours (Matthieu 16 :18). Quel est donc le rôle de cette Eglise ?

Jésus Lui-même fournit la réponse. Notez ce qu’Il fit lorsqu’Il commença Son ministère : « Après que Jean eut été livré, Jésus alla dans la Galilée, prêchant l’Evangile de Dieu. Il disait : Le temps est accompli, et le royaume de Dieu est proche. Repentez-vous, et croyez à la bonne nouvelle » (Marc 1 :14-15). Jésus annonçait la bonne nouvelle de Son royaume, et prêchait la repentance, la foi en l’Evangile, et la conversion.

Votre Eglise fait-elle ce que le Christ a fait ? Elle le devrait ! Vous incite-t-elle à vous impliquer dans l’œuvre de prédication de l’Evangile du Royaume de Dieu ? Avez-vous fait l’expérience de la véritable repentance et de la conversion ? Dans la négative, pourquoi ?

Anonyme

God’s Whole Plan


· Firstly we are to separate ourselves to hear and see God’s Whole plan for the earth. Too often we have micro managed and only concentrated on the will for our little life, or for our local, and there is a method that teaches us to do that.

· However Kingdom thinking is to know what the design of the whole house looks like, before we start building otherwise the finished product, if it ever gets finished, will have serious design error, also the strong possibility is that when the going gets tough, the lack of vision will cause us to quit.

· Ezekiel 43 is a report on the building of the temple and the result of building error caused God to reject the priesthood and look to the sons of Zadok. “You have defiled my temple by the placing of your thresholds next to mine, your pillars next to mine and because you have built a wall that separates me from my people”.

· Going to war with England – God’s world plan

· We going to establish a beach head in London – the instruction to the universal church

· South Africa will send a fleet of war ships – fleet of covenanted ministries

· There are troop carriers to land foot soldiers - e.g. Bethlemhem

· And the air craft carriers, air support – e.g. Power Dimensions

· Now you are on the war ship – e.g. House of David

· You are a ‘Gunner’ – know your purpose, your function

· You have to know your cannon – know gifting

· You have know your captain or commanders voice – know God’s voice

· You have to obey his instruction because you can’t see the target you have trust and heed your captains co ordinates

· Effectively working your cannon, takes knowing the reason and strategy for the war!!

Therefore we have to know what God’s plan is in the whole earth and then how our regiment of the army will play a role in that plan, and then we will know what our place is in the regiment because the whole picture will fit together. When the seargent has you running for hours, you will not think it is just because he is being mean or not considering you, but rather you will understand that you will need that stamina and discipline in the battle

Apostle Hans Blunk

called by God not by men

Action Evangelical Source of the Sower

Christ for Africa

http://www.christforafrica.net

http://www.escafrica.org

E-Mail : christforafrica@gmail.com

apostle_hansblunk@hotmail.com

missions@escafrica.org

skype: hansblunk

Tel: +27 726510969 / +27 176324988

Fax : +27 865838327

lundi 3 mai 2010

Derniers livres audio à écouter et télécharger

Derniers livres audio à écouter et télécharger



- MUSSET, Alfred (de) - A la mi-carême (Poème). Publié par René Depasse le 2 mai
2010.
http://www.litteratureaudio.com/livre-audio-gratuit-mp3/musset-alfred-de-a-la-mi-careme-poeme.html

- LUCAS, Jean Maximilien - Vie de Spinoza. Publié par Jean-Marc Goossens le 2
mai 2010.
http://www.litteratureaudio.com/livre-audio-gratuit-mp3/lucas-jean-maximilien-vie-de-spinoza.html

- LEVEL, Maurice - Les Portes de l'enfer (Deuxième sélection). Publié par René
Depasse le 1 mai 2010.
http://www.litteratureaudio.com/livre-audio-gratuit-mp3/level-maurice-les-portes-de-lenfer-deuxieme-selection.html

- NELLIGAN, Émile - Le Vaisseau d'Or (Poème, Version 2). Publié par
Gilles-Claude le 30 avril 2010.
http://www.litteratureaudio.com/livre-audio-gratuit-mp3/nelligan-emile-le-vaisseau-dor-poeme-version-2.html

- DAUDET, Alphonse - Tartarin sur les Alpes. Publié par René Depasse le 30 avril
2010.
http://www.litteratureaudio.com/livre-audio-gratuit-mp3/daudet-alphonse-tartarin-sur-les-alpes.html

- MAUPASSANT, Guy (de) - La Femme de Paul. Publié par Milunisu le 29 avril 2010.
http://www.litteratureaudio.com/livre-audio-gratuit-mp3/maupassant-guy-de-la-femme-de-paul.html

- RIMBAUD, Arthur - Les Pauvres à l'Église. Publié par Alexandre K. le 29 avril
2010.
http://www.litteratureaudio.com/livre-audio-gratuit-mp3/rimbaud-arthur-les-pauvres-a-leglise.html

- LAMARTINE, Alphonse (de) - Le Lac (Poème, Version 2). Publié par Bruissement
le 28 avril 2010.
http://www.litteratureaudio.com/livre-audio-gratuit-mp3/lamartine-alphonse-de-le-lac-poeme-version-2.html

- VAUVENARGUES, Luc de Clapiers (Marquis de) - Réflexions et maximes
(Sélection). Publié par René Depasse le 28 avril 2010.
http://www.litteratureaudio.com/livre-audio-gratuit-mp3/vauvenargues-luc-de-clapiers-marquis-de-reflexions-et-maximes-selection.html

- BAZIN, René - La Terre qui meurt. Publié par Carole Bassani-Adibzadeh le 27
avril 2010.
http://www.litteratureaudio.com/livre-audio-gratuit-mp3/bazin-rene-la-terre-qui-meurt.html

- COPPÉE, François - Six Poésies. Publié par René Depasse le 27 avril 2010.
http://www.litteratureaudio.com/livre-audio-gratuit-mp3/coppee-francois-six-poesies.html

- BAKOUNINE, Michel - Le Patriotisme physiologique ou naturel. Publié par Gérard
Ferran le 26 avril 2010.
http://www.litteratureaudio.com/livre-audio-gratuit-mp3/bakounine-michel-le-patriotisme-physiologique-ou-naturel.html

- MAISTRE, Xavier (de) - La Jeune Sibérienne. Publié par René Depasse le 26
avril 2010.
http://www.litteratureaudio.com/livre-audio-gratuit-mp3/maistre-xavier-de-la-jeune-siberienne.html

- DIDEROT, Denis - Entretien entre D'Alembert et Diderot. Publié par René
Depasse le 25 avril 2010.
http://www.litteratureaudio.com/livre-audio-gratuit-mp3/diderot-denis-entretien-entre-dalembert-et-diderot.html